Faut-il augmenter ses prix pour faire face à l'inflation ?

Faut-il autoriser certains salariés à télétravailler si d'autres ne le peuvent pas ?

Faut-il autoriser certains salariés à télétravailler si d'autres ne le peuvent pas ?

Faut-il privilégier un secteur que l’on aime ou une fonction élevée ? C’est la question que se pose Mariani, qui a depuis peu été remerciée de son poste de P-DG au sein d’Acid Fitness, une chaîne de salles de sport à Atlanta.

Faut-il privilégier un secteur que l’on aime ou une fonction élevée ? C’est la question que se pose Mariani, qui a depuis peu été remerciée de son poste de P-DG au sein d’Acid Fitness, une chaîne de salles de sport à Atlanta.
L’univers du fitness est un secteur qu’elle aime et dans lequel elle a naturellement évolué depuis qu’elle a été diplômée de Columbia. Mais pour la première fois, Mariani se retrouve au milieu du guets. Indécise. Quatre options s’offrent à elle.

Comment réagir lorsque des salariés aspirent à plus de flexibilité ?

C’est la question que se pose Diya, la DRH d’une agence de publicité en Inde, Blackbird.

Il y a quelques mois, l’un des meilleurs graphistes de l’entreprise, Ichan, était parti pour créer sa propre structure. Blackbird et lui avaient alors passé un accord : il pourrait être prestataire de l’entreprise et continuer ainsi à avoir des liens commerciaux avec elle.

Mais Diya ne s’attendait pas à ce que cet « arrangement » ait de telles conséquences au sein de l’agence. Depuis, plusieurs autres salariés, des créatifs pour la plupart, voulaient prendre le même chemin. Comment réagir face à cette hémorragie potentielle de talents que l’entreprise avait pris le temps de former ces dernières années ?

Comment réagir lorsque des salariés aspirent à plus de flexibilité ?

C’est la question que se pose Diya, la DRH d’une agence de publicité en Inde, Blackbird.

Il y a quelques mois, l’un des meilleurs graphistes de l’entreprise, Ichan, était parti pour créer sa propre structure. Blackbird et lui avaient alors passé un accord : il pourrait être prestataire de l’entreprise et continuer ainsi à avoir des liens commerciaux avec elle.

Mais Diya ne s’attendait pas à ce que cet « arrangement » ait de telles conséquences au sein de l’agence. Depuis, plusieurs autres salariés, des créatifs pour la plupart, voulaient prendre le même chemin. Comment réagir face à cette hémorragie potentielle de talents que l’entreprise avait pris le temps de former ces dernières années ?

Mise en commun d’entrepôts et de chaînes logistiques, partage de salariés et de compétences, co-création intellectuelle et en matière de R&D… Les entreprises ont compris que, pour survivre, elles doivent coopérer. Ces dernières années, cette coopération n’a cessé de s’étendre et de conquérir de nouveaux territoires. Aujourd’hui, l’objectif des entreprises est non seulement de gagner en performance mais aussi d’avoir un impact positif sur leur écosystème. Car, en s’associant, elles amplifient leur impact collectif, en transformant parfois même des pans entiers de l’économie. Cet esprit de partage et de coopération est définitivement entré dans une nouvelle ère.