“Je me laisse le droit de quitter ce métier quand j’en ai envie, donc si je suis sur scène, c’est que j’ai choisi de l’être, donc j’y vais à fond”

Cet épisode est un format de presque 1h, quasi sans montage, parce que préserver l’authenticité d’une discussion, c’est chouette aussi !

Durant ces 58 minutes, on parle de questions que beaucoup de gens se posent par rapport au stand up : “Mais comment il arrive à répéter tout le temps la même chose ?” “Mais j’aurais trop peur de jouer en public, comment il fait ?” Mais aussi, comment arrive-t-on à monter sur scène lorsqu’on apprend une terrible nouvelle le jour-même ? Comment gère-t-il la dernière date d’un spectacle ? On parle aussi de ce que l’humour peut apporter aux gens dans la salle, auquel ni l’un ni l’autre on aurait pensé. Verino évoque aussi le rapport ambivalent qu’il peut avoir face à son image de “gentil”. De son optimisme et de sa confiance dingue en les gens, et de la façon dont on travaille, lui et moi. Beaucoup de choses donc !

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“Je préfère que les gens ne rient pas, et qu’à la fin ils se disent “oh, qu’est-ce qu’il s’est passé!”, plutôt qu’ils rient et qu’à la fin ils disent “j’ai aimé tel moment, tel moment”.

Un épisode bonus, dans lequel on explore la question du rapport aux rires et aux applaudissements, dans la tête de Verino. Comment “gère” t-il lorsque le public ne rit pas ? Se sent-il légitime face aux applaudissements ? Comment arrive-t-il à ne plus avoir d’attentes face au public, et comment sa pensée a-t-elle évolué pour en arriver là ?

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“J’écris le plus possible, mais c’est pas moi qui choisit ce qui va plaire. Je suis nul pour savoir ce que les gens veulent.”

Dans cet épisode final, on évoque l’évolution de l’écriture dans la vie de Verino. Comment ses vidéos Youtube l’aident à améliorer son écriture ? A-t-il changé de “discipline” avec l’arrivée de ses enfants ? Peut-on savoir ce qui va plaire aux gens ? Comment travaille-t-il avec ses co-auteurs ? Comment appréhende-t-il les premières de ses spectacles, et ses passages en Comedy Clubs?

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“J’aime que le public perde pied, qu’il ne décroche pas. Et le mettre dans l’état où toi tu as vécu le truc que tu racontes.”

Durant cette séquence, on parle de la structure du spectacle. Doit-elle se réfléchir en amont ou se faire au fur et à mesure ? Comment garder un public attentif jusqu’à le “faire vriller” (et qu’il réponde à Verino en oubliant qu’il y a des gens autour) ? Comment Verino crée-t-il ses transitions, pour que le spectacle soit le plus limpide possible ? Et surtout, quelle est la place du public dans cette création continue ?

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“Ce qui m’intéresse, c’est de rire sur la manière, mais sur les idéologies”

A partir de ses sources d’inspirations extérieures, comme les podcasts, Verino explique sa volonté première de comprendre ses “ennemis” et d’observer tous les côtés d’un sujet avant d’en faire des blagues. Comment pense-t-il ses sketchs pour que tout le monde se sente inclus et puisse en rire, même s’ils sont concernés par le sujet ?

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“Je serai plus fort en vivant à 100% le moment présent car je sais que mon cerveau absorbe la sensation et le sentiment. Et y’a pas plus drôle que ça.”

Dans cet épisode, on parle avec Verino de cette fameuse discipline, à avoir ou pas, pour écrire un spectacle. Comment peut venir l’inspiration : est-ce qu’on peut choisir son moment ? Doit-on tout noter dès qu’on vit un moment intéressant pour en fabriquer une blague après ? Comment faire la part des choses entre son travail, qui évoque des moments de vie, et l’envie de vivre le moment présent pour n’en rater aucune miette ?

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