Ça vous est déjà arrivé, c'est sûr. Balancer ces mots à quelqu'un : "Je ne te dois rien". C'était sans doute une façon d'éviter une discussion que vous n'aviez pas envie d'avoir. Pour la meuf inutile, ce sont des mots qu'on ne devrait jamais prononcer, parce qu'ils sont la preuve que quelque chose a été mal traduit, que la communication était brouillée, que quelqu'un a été blessé. Dans cet épisode, votre hôte achève enfin de vous raconter l'histoire du garçon au regard vide, parce qu'elle avait promis qu'elle ne vous en parlerait plus après la fin de l'été, et elle revient sur deux histoires de dating où les mots "je ne te dois rien" ont été trop entendus à son goût. Au final, elle vous fait le récit de trois anecdotes classiques mais personnelles sur l'univers du dating sur fond de vœux de chasteté velléitaire et contrarié. Bonne écoute.

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Dans cet épisode, la meuf inutile parle de "redflag", vous savez c'est signaux plus ou moins conscient et concret qui nous alertent sur la potentielle toxicité d'une personne. On ne parle évidemment pas de la toxicité évoquée par la musique merveilleuse de System of a Down dont le premier album, "Toxicity" est une merveille, vous me suivez toujours ? On parle de ces gens qui vont nous faire du mal, involontairement ou non. Bref, dans cet épisode, la meuf inutile parle aussi de l'influence de la culture grand public sur son attirance pour les hommes racisés et non racisés : une histoire de représentation. Et bien sûr, elle continue de vous raconter son histoire sans réciprocité avec celui qu'elle a nommé "le garçon au regard vide". Bonne écoute

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Dans ce dernier épisode des "Digressions non disruptives sur le dating et les autres choses de la vie", la meuf inutile vous raconte, comme promis, cette histoire d'amour non réciproque qu'elle a traîné pendant sept ans, mais pas seulement. Puisque ce podcast porterait mal son nom sans ses digressions, votre hôte passe par de nombreuses étapes avant de vous narrer les splendeurs et misères d'un sentiment amoureux aussi grisant que désespérant. La meuf inutile vous parle de sa phobie sociale, du dating à l'époque où personne n'employait le mot "dating" et sans surprises, puisque c'est toujours le sujet de ce podcast, elle se perd dans des réflexions sur la solitude et le marché de l'amour. Ah oui, elle avait également très envie de vous partager sa passion pour le morceau "I Follow Rivers" de Lykke Li. Bonne écoute.

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