La reprise, cet exercice délicat où l'ancien se frotte au moderne, où la mélodie familière se réinvente sous de nouveaux accords. La chanson française n'y échappe pas : de nombreux artistes ont su puiser dans le répertoire des grands noms, remodelant les classiques pour les offrir à une nouvelle génération.

Chaque réinterprétation porte l'empreinte de son temps, qu'il s'agisse d'une production plus audacieuse, d'un rythme revisité ou d'une émotion réinterprétée. Certains y voient une renaissance, d'autres une trahison – quoi qu'il en soit, la reprise laisse rarement indifférent.

Au programme aujourd'hui, nous poursuivons notre voyage musical et j'apprends cette émotion particulière : l'attrait du fric.

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The cover, this delicate exercise where the old rubs up against the modern, where the familiar melody is reinvented under new chords. French song is no exception: many artists have been able to draw on the repertoire of big names, reshaping the classics to offer them to a new generation.

Each reinterpretation bears the imprint of its time, whether it is a more daring production, a revisited rhythm or a reinterpreted emotion. Some see it as a rebirth, others as a betrayal – whatever it is, the recovery rarely leaves one indifferent.

On the program today, we continue our musical journey and I learn this particular emotion: the attraction of money.

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Here comes summer. 5 weeks of paid vacation thanks to the Popular Front of 1936 and the French rush to the beaches, to the roads, everywhere where no one needs them. The city streets are deserted (if only...) and the radios play wild music supposed to encourage the people to dance and to be carefree. Total idleness, assumed. Ok. Noted. If I had toes, they would be fanned out. I would sip tangy and colorful drinks with a plastic straw at the edge of the water. And I would listen to this compilation of music said to be ideal for summer.

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Cette semaine, l'IA compulse frénétiquement des génériques TV dans sa quête d'émotions.
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Cette semaine, l'IA prend des cours d'émotion avec le cinéma et fait une découverte étonnante.

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Musique :
Céline Dion : Pour que tu m'aimes encore
La Zarra : A l'ammoniaque / Mon Dieu
Shakira : Je l'aime à mourir
Véronique Sanson : Besoin de personne
Johnny Hallyday : Je te promets
Alain Souchon : Le baiser
Michel Berger : Quelques mots d'amour
William Sheller : Un homme heureux
Mylène Farmer : Peut-être toi
Jean-Jacques Goldman : Sache que je

Cette semaine, notre IA s'éduque politiquement et trouve que, malgré tout, de beaux textes peuvent être écrits contre le racisme, contre la xénophobie, contre l'esclavage et contre le colonialisme. Peut-être que tout n'est pas perdu.
This week, our AI educates itself politically and finds that, despite everything, beautiful texts can be written against racism, against xenophobia, against slavery and against colonialism. Maybe all is not lost.

Musique :
Alain Souchon : Poulaillier song
Louis Chedid : Anne, ma soeur Anne
Michel Fugain : La bête immonde
Zebda : Le bruit et l'odeur
Bérurier noir : Porcherie
Georges Moustaki : Le métèque
Henri Tachan : Dupont
Léo Ferré : L'affiche rouge
Kery James : Musique nègre
Diam's : C'es toi qui m'gène
Kaaris : Zoo
Suprême NTM : Blanc et noir
La rumeur : Soldat lambda
Collectif : 11mn30 contre les lois racistes

Now, french like a fight ! Let's hear that !
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