Juste pour vivre  Por  arte de portada

Juste pour vivre

De: CFAK 88.3 FM
  • Resumen

  • Juste pour vivre Louis-Philippe Renaud Ce balado s’intéresse aux différentes manières de concevoir le vivant et aux impacts des types de relations que nous entretenons avec lui. Les personnes interviewées partagent leurs savoirs et leurs réflexions avec générosité et sensibilité. Chaque épisode permet de mieux saisir la valeur du vivant et de la biodiversité pour l’habiter consciencieusement.
    © 2024
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Episodios
  • Penser la crise écologique en faveur du vivant
    Jun 25 2024

    Spécialiste en pensée systémique, David King-Ruel rejette une vision du vivant simple et mécanique orientée vers le confort. Les crises demeurent pour lui des contextes favorables au déploiement de nos capacités adaptatives ; particulièrement si elles nous permettent d’acquérir les apprentissages nécessaires pour traverser les suivantes. Elles sont des moments privilégiés pour renouveler nos structures plutôt que pour les faire perdurer.

    Pour mon invité, faire pleinement face à la crise écologique actuelle nécessite de modifier notre vision du monde : arrêtons de concentrer nos investissements dans le soin des symptômes! Il invite à la responsabilité individuelle et collective pour créer de l’agilité au changement et ainsi, acquérir le pouvoir de remplacer nos systèmes désuets.

    David appelle à l’engagement et au courage avec une profonde conviction de notre potentiel de résilience : avec du lâcher-prise et un maximum de connectivité. Il n’est pas dupe, une lecture politique reste obligatoire pour opérer les grands bouleversements nécessaires. Il reconnait d’ailleurs notre résistance au changement, mais croit possible de surmonter ce défi.

    David King-Ruel enseigne à la maîtrise au Centre de formation en environnement et développement durable (CUFE) à l’Université de Sherbrooke. Il y partage sa passion pour la pensée systémique, la complexité et la transition socio-écologique. Il met aussi ses expertises au service de ses clients en tant que facilitateur pour Matière Brute.

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    1 h y 6 m
  • L’art et le vivant
    Jun 17 2024

    Entre 2 fous rires, Étienne, Simon et Nan nous invitent à laisser émerger nos impulsions artistiques et à nous accorder le droit de nous exprimer. Dans ce monde d’accélération bombardé d’informations, il est important de redécouvrir la vie au travers de nos sens, d’agir en pleine conscience et de se laisser émouvoir par la contemplation du vivant.

    La pratique artistique de mes invités est intime, sensible et focalisée sur le présent. Pour eux, l’art maintient en vie, donne du sens à l’existence et fait le plus grand bien. En ces temps troubles, ils en appellent à l’art : moteur puissant d’imagination plus que nécessaire!

    Simon et Étienne pratique l’art vivant, ils transforment la matière et restent connectés à leur quête de sincérité. Leur rôle consiste à tisser des liens entre leur environnement, la communauté humaine et les forces qui la composent. Le vivant est interconnecté, il ne reste plus qu’à y déployer notre potentiel créatif consciencieusement.

    Artiste visuel multidisciplinaire engagé, Étienne Plante travaille la sculpture, l’installation et la performance. Les techniques de fonderie accompagnent bien souvent ses créations pour redonner vie aux déchets en tant que matière première à ses œuvres. Passé d’ingénieur mécanique à artiste autodidacte, il transforme aussi la matière pour le plaisir de la clientèle de son entreprise Bois d’fer.

    Artiste de cirque multidisciplinaire, cofondateur et directeur artistique de Labokracboom, Simon Durocher-Gosselin a été nommé artiste de l’année en Estrie en 2022 par le Conseil des arts et des lettres du Québec. En plus de pratiquer les arts vivants et la danse, il œuvre comme instructeur de cirque social depuis plus de 15 ans. Sa connexion avec le vivant et son goût du partage s’enracine aussi dans son projet d’érablière Besito d’érable.

    Les œuvres d’Ultra Nan accompagnent le quotidien à Sherbrooke. Son petit bonhomme est prisé pour imager des causes ou des moments marquants de manière sensible. Le logo de mon balado en est bien la démonstration. De très beaux reportages sur cet artiste ont été réalisés par Radio-Canada et La Fabrique cultuelle, à découvrir!

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    1 h y 4 m
  • L'influence du mode de déplacement sur notre relation au vivant
    Jun 11 2024

    Attention, vous risquez de tomber sous le charme de mes invité·es avec leurs réflexions sensibles et leurs pratiques inspirantes autour de l’influence du mode de déplacement sur leur relation au vivant. Oui, se déplacer peut contribuer au tissage actif d’une communauté et dépasser la relation instrumentale que nous adoptons trop souvent envers notre réalité. Apprendre à vivre avec le vivant nécessite de revisiter notre rapport à l’effort et prendre conscience de la chance que nous avons d’avoir 5 sens pour nous sentir exister pleinement.

    Pour Judith Beaudoin, le transport actif permet de vivre à hauteur humaine, d’être en lien de manière naturelle et intuitif avec le voisinage et le vivant qui nous entoure. Elle ne subit pas la météo, elle l’habite, l’expérimente et s’y adapte volontairement. Se déplacer à vélo selon son rythme et sa force lui offre un précieux sentiment de liberté et de puissance.

    Pour Nicolas Beaudoin, la marche est plus qu’un moyen de se rendre au point A et B, mais bien une fin en soi. Un mode de vie actif rend organique à nouveau tout ce qui l’a déjà été. Marcher transforme notre rapport au monde et nous transforme tout autant. Il se questionne sur l’accélération : les nombreux moyens pour augmenter notre puissance nous éloignent d’une relation qui résonne avec le vivant.

    Judith Beaudoin est une cycliste devant l’éternel et mère de 2 jeunes aventuriers sur deux roues. Elle est chargée de cours au Centre universitaire de formation en environnement et développement durable (CUFE) et conseillère en mobilité durable à l’Université de Sherbrooke.

    Nicolas Beaudoin est un grand marcheur qui a traversé environ 5000 fois la rivière Saint-François depuis une quinzaine d’années pour se rendre au Cégep de Sherbrooke, où il enseigne la philosophie.

    Références

    La Tribune : Une toute première cohorte estrienne pour Toutes à vélo!

    L’OMS crée une Commission pour favoriser le lien social

    Documentaire Sherbrooke à Vélo : portrait du cyclisme utilitaire en 2023

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    1 h y 10 m

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