Et si l’Amérique n’avait jamais existé ? Et si le continent lui-même n’était qu’une sombre conspiration capitaliste fomentée par l’Europe depuis des siècles ? C’est le pari loufoque d’un feuilleton radiophonique rigoureusement palpitant en 5 x 7 minutes, adapté d’un roman de jeunesse inédit de Tristan Garcia, « La Section Sioux fait tchoufa non sans gloire », produit par Richard Gaitet et réalisé par Benoît Thuault avec l’aide de Tristan Guérin.

Ecrit à 19 ans, « La Section Sioux fait tchoufa non sans gloire » est un « roman fou » en deux volumes, centré sur un groupuscule de complotistes marxistes qui, à l’orée des années 2000, ont cette idée fixe : démontrer que Christophe Colomb n’a rien trouvé pendant son voyage de 1492n de même que les Vikings avant lui. Ces fichus pieds nickelés, accompagné d’un petit garçon belge qui sait poser les bonnes questions, font le tour de l’Europe à la recherche de preuves, croisant en chemin une alliée de choix en la personne de Beyoncé.

L’expression « faire tchoufa » provient d’un patois pied-noir algérien. Cela signifie : « Avoir des ambitions très hautes mais… qui retombent comme un soufflé. » Ce roman traduit toujours, pour l’auteur de « 7 » ou « La Meilleure part des hommes », sa « tendresse folle pour les idiots », sa « passion pour les personnages convaincus qu’ils ont raison alors qu'ils ont complètement tort, gardiens des possibles contre le réel ».)

Et si l’Amérique n’avait jamais existé ? Et si le continent lui-même n’était qu’une sombre conspiration capitaliste fomentée par l’Europe depuis des siècles ? C’est le pari loufoque d’un feuilleton radiophonique rigoureusement palpitant en 5 x 7 minutes, adapté d’un roman de jeunesse inédit de Tristan Garcia, « La Section Sioux fait tchoufa non sans gloire », produit par Richard Gaitet et réalisé par Benoît Thuault avec l’aide de Tristan Guérin.

Ecrit à 19 ans, « La Section Sioux fait tchoufa non sans gloire » est un « roman fou » en deux volumes, centré sur un groupuscule de complotistes marxistes qui, à l’orée des années 2000, ont cette idée fixe : démontrer que Christophe Colomb n’a rien trouvé pendant son voyage de 1492n de même que les Vikings avant lui. Ces fichus pieds nickelés, accompagné d’un petit garçon belge qui sait poser les bonnes questions, font le tour de l’Europe à la recherche de preuves, croisant en chemin une alliée de choix en la personne de Beyoncé.

L’expression « faire tchoufa » provient d’un patois pied-noir algérien. Cela signifie : « Avoir des ambitions très hautes mais… qui retombent comme un soufflé. » Ce roman traduit toujours, pour l’auteur de « 7 » ou « La Meilleure part des hommes », sa « tendresse folle pour les idiots », sa « passion pour les personnages convaincus qu’ils ont raison alors qu'ils ont complètement tort, gardiens des possibles contre le réel ».)

Et si l’Amérique n’avait jamais existé ? Et si le continent lui-même n’était qu’une sombre conspiration capitaliste fomentée par l’Europe depuis des siècles ? C’est le pari loufoque d’un feuilleton radiophonique rigoureusement palpitant en 5 x 7 minutes, adapté d’un roman de jeunesse inédit de Tristan Garcia, « La Section Sioux fait tchoufa non sans gloire », produit par Richard Gaitet et réalisé par Benoît Thuault avec l’aide de Tristan Guérin.

Ecrit à 19 ans, « La Section Sioux fait tchoufa non sans gloire » est un « roman fou » en deux volumes, centré sur un groupuscule de complotistes marxistes qui, à l’orée des années 2000, ont cette idée fixe : démontrer que Christophe Colomb n’a rien trouvé pendant son voyage de 1492n de même que les Vikings avant lui. Ces fichus pieds nickelés, accompagné d’un petit garçon belge qui sait poser les bonnes questions, font le tour de l’Europe à la recherche de preuves, croisant en chemin une alliée de choix en la personne de Beyoncé.

L’expression « faire tchoufa » provient d’un patois pied-noir algérien. Cela signifie : « Avoir des ambitions très hautes mais… qui retombent comme un soufflé. » Ce roman traduit toujours, pour l’auteur de « 7 » ou « La Meilleure part des hommes », sa « tendresse folle pour les idiots », sa « passion pour les personnages convaincus qu’ils ont raison alors qu'ils ont complètement tort, gardiens des possibles contre le réel ».)