Portrait de Yasmine Sebti - Deux métiers en un !

Yasmine Sebti est enseignante chercheure à l’Université de Lille. En qualité d’enseignante, elle donne des cours à la Faculté de Pharmacie à des étudiants de niveau Bac+1 à Bac+5 et côté recherche, elle travaille sur le rôle de l’horloge des cellules immunitaires dans le processus de régénération du muscle.

Un muscle est capable de se réparer suite à une blessure mais saviez-vous que l’heure de la blessure influait sur le processus de réparation du muscle ? C’est ce qu’ont découvert Yasmine Sebti et ses collègues.

Dans cet épisode, Yasmine Sebti nous explique pourquoi.

Bonne écoute !

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Portrait de Julie Chevalier, une experte en langues scientifiques !

Après le baccalauréat, Julie Chevalier continue ses études dans le domaine de la biologie, la matière qu’elle affectionne le plus au lycée. Mais la découverte de la programmation informatique est une révélation ! Elle cherche alors à allier biologie et informatique et se lance en bioinformatique.

Qu’est-ce-que la bioinformatique me direz-vous ? La bioinformatique, une discipline à la croisée de l’informatique, des mathématiques, des statistiques et de la biologie, est un outil pour les biologistes. Avec les avancées que l’on connaît dans le séquençage du génome, les chercheurs en biologie produisent de très grandes masses de données aujourd’hui. La bioinformatique permet de traiter ces données en un temps raisonnable et surtout aide à leur interprétation grâce à l’intelligence artificielle.

Dans cet épisode, Julie Chevalier nous explique qu’elle ne se considère ni experte en informatique, ni experte en biologie mais plutôt experte en langues scientifiques. Elle sait écouter et comprendre ses collègues chercheurs et surtout traduire leurs questions en un problème que sait résoudre la bioinformatique.

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Romaric Marcilly est ergonome. Ce métier méconnu est pourtant essentiel. En effet, l’ergonome conçoit et améliore des lieux de vie et de travail, des objets, des logiciels ou des postes de travail afin de les adapter au maximum aux besoins des utilisateurs, en termes de confort, sécurité et efficacité.

Selon un des enseignants de Romaric, l’ergonome, c’est le plus beau métier du monde parce qu’il regarde les autres travailler ! Dans cet épisode, Romaric Marcilly nous explique sa passion pour son métier et nous dit pourquoi ce n’est pas si simple d’analyser scientifiquement le travail.

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Portrait d’Elodie Guillaume - Son moteur dans la vie : aider les femmes à améliorer leur

santé

Elodie Guillaume aime beaucoup son métier. Même si son parcours est davantage le

résultat d’heureux hasards que quelque chose de vraiment maitrisé, la chercheuse a

l’impression d’avoir trouvé sa place et d’être là où elle devrait être.

Cheffe du projet « Mammobile » - un cabinet de radiologie ambulant qui permet aux

femmes éloignées des centres de radiologie de réaliser des mammographies, dans le

cadre d’un dépistage du cancer du sein -, Elodie Guillaume se donne comme mission

d’augmenter le taux de participation au dépistage, qui est encore trop faible selon elle.

Et les défis ne font pas peur à cette mère de trois enfants qui a réalisé sa thèse sur le tard

en étant parent de trois bambins.

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Portrait de Ludivine Launay - La santé, son domaine de prédilection

Ludivine Launay a la bosse des maths. Pendant son Master de mathématiques appliquées

aux sciences sociales, elle effectue ses stages au laboratoire Cancer & Population de

Caen. Une fois son diplôme en poche, elle décide d’y rester. Son travail s’oriente alors

vers les outils de mesure des inégalités sociales en cancérologie avec la création de la

plateforme MapInMed.

Ludivine Launay participe à des projets de recherche sur des thématiques aussi variées

que l’activité physique adaptée chez les patients atteints d’un cancer ou la réalisation d’un

diagnostic de la situation du cancer en Normandie.

Dans cet épisode, Ludivine Launay nous explique l’utilité de cette plateforme pour l’étude

et la réduction des inégalités sociales en cancérologie.

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Ce qui caractérise le parcours de Céline Delaloy c’est à coup sûr la diversité des thématiques qu’elle a étudiées en France et à l’étranger : la physiopathologie rénale, la génétique du développement, la neurologie, l'immunologie et des pathologies comme l'hypertension artérielle, les maladies auto-immunes et les cancers hématologiques. Céline Delaloy est une chercheuse comblée par la liberté immense qu’elle a de travailler sur ce qui l’anime le plus.

Comme tous les scientifiques de cette série de podcasts dédiée à InScience, le festival de l’Inserm qui a lieu du 1er au 15 juin 2023 partout en France, Céline Delaloy, chargée de recherche à l’Inserm au sein du laboratoire MOBIDIC (MOBIDIC pour micro-environnement, différenciation cellulaire, Immunologie et Cancer) à Rennes, est lauréate d’un financement de l’Agence Nationale de la Recherche qui subventionne des projets de recherche.

Dans cet épisode, Céline Delaloy nous parle de ses travaux sur les plasmocytes, des cellules qui correspondent à un type particulier de globule blanc et qui produisent les anticorps au sein de notre corps pour nous protéger contre les infections.

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Originaire du Venezuela, Salvatore Spicuglia est encore lycéen quand il décroche une bourse pour aller étudier à l’étranger. Déjà intéressé par la génétique, il a repéré une école d’ingénieur en France. Comme le prévoit la bourse, il repasse son baccalauréat et apprend le français. Puis il poursuit sa carrière jusqu’à diriger sa propre équipe de recherche à Marseille.

Comme tous les chercheurs et chercheuses de cette série de podcasts dédiée à InScience, le festival de l’Inserm qui a lieu du 1er au 15 juin 2023 partout en France, Salvatore Spicuglia, directeur de recherche à l’Inserm au sein du laboratoire «Théories et approches de la complexité génomique», est lauréat d’un financement de l’Agence Nationale de la Recherche qui subventionne des projets de recherche.

Dans cet épisode, Salvatore Spicuglia nous explique ce qu’est l’épigénétique, son domaine de prédilection.

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Petite, Catherine Léon avait déjà une curiosité insatiable ! A l’âge de huit ans, elle passe commande au Père Noël d’un microscope pour pouvoir observer ce qui ne peut se voir à l’œil nu ! C’est dire si sa vocation ne date pas d’hier !

Et chaque matin, Catherine Léon prend toujours autant de plaisir à venir travailler au laboratoire « Biologie et pharmacologie des plaquettes sanguines », situé au sein du centre de transfusion de Strasbourg, et à mener ses travaux de recherche. Et la scientifique n’est pas du tout pressée de prendre sa retraite !

Comme tous les chercheurs et chercheuses de cette série de podcasts dédiée à InScience, le festival de l’Inserm qui a lieu du 1er au 15 juin 2023 partout en France, Catherine Léon, directrice de recherche Inserm, est lauréate d’un financement de l’Agence Nationale de la Recherche qui subventionne des projets de recherche.

Dans cet épisode, Catherine Léon nous explique son intérêt pour les plaquettes sanguines, les cellules qui aident le sang à coaguler.

Bonne écoute !

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