À l’occasion de l’Euro 2024 , Ouest-France vous propose plusieurs podcasts sur les grands matches qui ont dépassé le simple cadre sportif. Troisième volet avec le duel fratricide entre les frères Xhaka, Granit et Taulant, lors de Suisse - Albanie en 2016, deux pays avec des liens très forts.

Bonne écoute !

Réalisation : Florian Domergue

Crédit photo : François Lo Presti / AFP

À l’occasion de l’Euro 2024 qui débute vendredi 14 juin en Allemagne, Ouest-France vous propose plusieurs podcasts sur les grands matches qui ont dépassé le simple cadre sportif. Deuxième volet sur la trajectoire d’Antonin Panenka. Décisif en finale de l’édition 1976, le Tchécoslovaque a donné son nom à l’un des penaltys les plus mythiques du jeu, pendant que sa trajectoire se dessinait en parallèle de celle du communisme lors de la Guerre froide.

Rares, très rares sont les joueurs de football à avoir donné leur nom à un geste technique dans le sport le plus populaire du monde. C’est le cas d’Antonin Panenka, milieu offensif de la Tchécoslovaquie dans les années 1970 et 1980. En finale de l’Euro 1976 face à l’Allemagne, au stade Marakana de Belgrade, il offre la victoire à son équipe aux tirs au but d’un geste assez fou. Après sa course d’élan, il effectue une pichenette, en plein centre du but, qui trompe le gardien de la Mannschaft Sepp Maier, qui avait plongé sur sa gauche.

Ainsi naît la « Panenka », une œuvre délicate et délicieuse pour les footballeurs-artistes qui aiment jouer avec le feu. Mais derrière elle, il y a aussi, et surtout, un homme dont la trajectoire s’écrit en parallèle de celle du communisme à l’époque de la Guerre froide. Voici son histoire, racontée avec l’œil de Fabien Archambault, historien à l’université Paris-I Panthéon Sorbonne, également auteur du livre Coups de sifflet, une histoire du monde en onze matches chez Flammarion.

Bonne écoute !

Réalisation : Florian Domergue

Crédit photo : Archive AFP

À l’occasion de l’Euro 2024 qui débute vendredi 14 juin, en Allemagne, Ouest-France vous propose plusieurs podcasts sur les grands matches qui ont dépassé le simple cadre sportif. Premier volet avec la vengeance des skieurs slovènes face à la Yougoslavie lors de l’édition 2000, en Belgique et aux Pays-Bas.

Placée aux côtés de la Yougoslavie lors de l’Euro 2000, la Slovénie a débuté le premier tournoi international de son histoire par une rencontre hautement symbolique contre les Plavi. Méprisée par le reste de la Yougoslavie quand il s’agit de football, la Slovénie compte bien profiter ce premier rendez-vous pour faire taire les mauvaises langues qui les appellent les skieurs.

Bonne écoute.

Réalisation : Mathilde Guilbaud

Kevin Amourette fait partie de ces 4000 footballeurs qui sont payés pour jouer au foot mais dont ce n'est pas l'activité principale. Il est ce qu'on appelle un sportif semi-professionnel. Community manager chez Ouest-France la semaine, sur le terrain le week-end, il mène une vie bien rythmée et très cadrée.

Et qui suscite quelques interrogations. Le joueur de 30 ans répond aux questions des internautes à notre micro. Bonne écoute.

Crédit photo : AS Vitré

Crédit musique : Universalmusicproductions

Réalisation : Mathilde Guilbaud

« Je ne pensais pas que cela allait s’arrêter... » Selon la Fédération française de football, environ 80 % des joueurs en centre de formation ne signent pas de contrat professionnel à l’issue de leur cursus. Chaque année, des centaines de jeunes footballeurs retournent à la case départ.

Nelson Araujo, Zineddine Bourebaba, Théo Bachelier et Samy Zarouri font partie de ceux-là. Durant leur adolescence, ces quatre joueurs ont côtoyé l’élite de leur sport. Ils ont fait partie de ces académies réputées, dans lesquelles les jeunes sont formés pour devenir les meilleurs footballeurs possibles. Avant que tout ne s’arrête brutalement. Ils témoignent dans ce podcast. 

Chacun d’entre eux a sa propre histoire. Certains continuent de croire à une carrière professionnelle, en écumant les divisions amateurs françaises, tandis que d’autres ont, rapidement, fait le deuil pour embrayer sur d’autres objectifs. C’est le cas de Samy Zarouri, devenu avocat 15 ans après avoir quitté le centre de formation du FC Nantes. « Je n’avais pas le droit de déprimer ou de m’apitoyer sur mon sort, il fallait aller de l’avant. Ce n’est pas simple. Je me suis fait violence », explique-t-il.

Bonne écoute.

Interview et voix off : Pierre-Hakim Ouggourni

Réalisation : Ronan Coquelin Lion

Musique : Universal Music Production

Didier Drogba était l’invité exceptionnel d’Ouest-France et Prolongation alors qu’il s’apprête à présenter la cérémonie du Ballon d’Or, au théâtre du Châtelet, à Paris, lundi 17 octobre 2022. Pour l’occasion, la rédaction avait organisé des retrouvailles : l’ancien attaquant de Chelsea a pu échanger pendant plus d’une heure avec deux des éducateurs qui ont le plus compté pour lui : le Manceau Alain Pascalou et l’ex entraîneur guingampais Guy Lacombe, qui l’avait lancé en L1.

Avec Mathieu Coureau, Clément Commolet, Didier Drogba, Alain Pascalou et Guy Lacombe.

Réalisation et montage : Maëliss Hennetier

Bonne écoute !

Certains sont mariés depuis des années, d’autres en couple depuis quelques mois. Tous ont un point commun : ils se sont rencontrés grâce au sport.

Prolongation vous raconte ces histoires d’amour nées sur les pistes d’athlétisme ou dans les gymnases, symboles du lien social que représente l’activité physique. Aujourd’hui, l’histoire de Vincent, professeur d’EPS à la retraite, et Sylvie, qui se sont rencontrés en 1975 sur les terrains de volley-ball. Trois enfants sont nés.

Bonne écoute.

Réalisation : Maëliss Hennetier et Marius Sort
Crédit photo : Image personnelle de Vincent et Sylvie
Crédit Musique : Universal Music Production

Si les grands évènements sportifs se lisent, s’écoutent ou se regardent, ils peuvent aussi se vivre. C’est le cas pour les nombreux reporters sportifs de Ouest-France, qui reviennent presque à chaque fois de leurs reportages avec des anecdotes. Prolongation a décidé de leur ouvrir le micro, sans prétention, pour qu’ils nous racontent. 

Pour le troisième épisode de cette nouvelle série de podcasts signée Prolongation, on a tendu le micro à Christophe Penoignon, journaliste à Ouest-France depuis 2013. Spécialisé dans le suivi de l’actualité du tennis, il a couvert cette saison les tournois du Grand Chelem de Roland-Garros, à Paris, et de Wimbledon, à Londres. Atmosphère, public, tradition... Il raconte les nombreuses différences qu’il existe entre ces deux rendez-vous mythiques de la balle jaune.

Avec Mathieu Coureau et Clément Commolet et Christophe Penoignon.

Réalisation et montage : Maëliss Hennetier

Bonne écoute !