Dans le genre univers qui rebute, la mort arrive bien souvent en tête de liste.

Mais quand on m’a raconté l’histoire de ce journaliste ayant entamé des études pour devenir conseiller funéraire, j’avoue que ma curiosité a dépassé mes réticences.

Et puis Stéphane n’a pas tout à fait le profil de l’emploi. Ses années passées chez "Vogue" et au magazine "Styliste", ses tatouages et son style de vie contemporain ont fait de lui un être à la pointe de la mode qu’on imagine pas tout à fait dans le costume gris anthracite de rigueur aux enterrements.

Mais ce plongeon vers les pompes funèbres est en réalité bien plus profond que ça pour Stéphane. Lui qui a fait l’expérience du deuil très tôt a ressenti le besoin de se confronter concrètement à ses questions sur la mort.

Et parce qu’on ne se débarrasse pas si facilement de son âme de journaliste, il a fait de son expérience une newsletter avec un titre où il ose le clin d’oeil à Britney pour parler enterrement.

Alors n’ayez pas peur et plongez avec Stephane et moi dans le monde pas si triste des croque-morts.

Avec un éclat de rire pareil… c’était presque écrit. Emma était faite pour nous faire marrer!

Et pourtant ce n’est pas du tout le chemin qu’elle se choisit. Quand, le bac en poche, elle commence ses études de droits, bien dans les clous.

Devenue avocate, son métier la passionne. Elle aime l’excitation des plaidoiries et ce sentiment d’être utile. Au point qu’elle ne réalise même pas qu’elle frôle l’épuisement.

Et puis un jour, après avoir passé des vacances à dormir plus qu’à profiter, elle a une révélation. Un spectacle lui ouvre les yeux, ce qu’elle a vraiment envie de faire c’est monter sur scène.

Dans cet épisode, Emma nous raconte son plongeon vers une vie d’humoriste. Comment elle s’est retrouvée devant un public la première fois et comment rien ne pouvait la décourager, des vannes qui font un bide aux doutes de son papa…

Si vous habitez une grande ville, vous les croisez comme moi presque tous les jours. La main tendue dans le métro, dans un sac de couchage sur le trottoir ou à la sortie d’une boulangerie avec une pancarte à leur pied.

Il y a aussi ceux qu’on côtoie sans vraiment les voir. Il vivent dans des centres d’hébergement, en squat ou dans des bidonvilles en périphérie des beaux quartiers.

La liste des personnes sans domicile fixe serait trop longue à énumérer… Le rapport sur l’état du mal-logement en 2022 par la Fondation Abbé Pierre fait état de trois cent mille SDF en France et plus de quatre millions de personnes mal-logées…

Mais alors qui sont ces gens et comment en sont-ils arrivés là ?

Dans cet épisode vous entendrez le témoignage d’Elina. Enfant de la DDASS, elle a passé quinze ans dans la rue, dont quatre à prendre du crack. Elle raconte ses années d’errance à ne jamais se sentir chez soi, son système D pour survivre et la rencontre qui va tout changer.

Désormais comédienne, militante associative et chroniqueuse a la radio Elina raconte sans relâche son parcours pour que la société change de regard sur ceux qu’elle appelle les “invisibles”