Aujourd’hui, on va s’intéresser à cette semaine de toutes les tensions pour l’exécutif qui a avancé, jour après jour, sur le terrain miné de la crise agricole, nationale et européenne et finalement : des tracteurs qui font demi-tour, des barrages levés… est ce gagné pour autant ? et l’environnement dans tout ça ? on en parle avec nos invités :

 Aujourd’hui, on va s’intéresser à cette semaine particulièrement éprouvante pour la nouvelle ministre de l’Éducation nationale, qui, au bout de seulement trois jours de son nouveau mandat, songeait déjà à démissionner…. De maladresse politique en erreur stratégique, de l’auto-justification à la balle dans le pied, on en parle avec nos invités : Benjamin Morel, politologue ; Aude Bariéty, journaliste spécialisée éducation au Figaro ; Nicolas Bouzou, essayiste français, consultant, ancien conseiller sur la société auprès du premier ministre, auteur entre autres de l’ouvrage « Sagesse et folie du monde qui vient. Comment s’y préparer, comment y préparer nos enfants » ? co écrit avec l’ancien ministre de l’éducation nationale Luc Ferry (XO éditions)

 Aujourd’hui avec nos invités dans Arrêt sur Info, on s'intéresse à la manière dont Gabriel Attal est passé de parfait inconnu des Français en 2017 à plus jeune premier ministre de l’Histoire de France en janvier 2024. Seulement 6 ans et 9 mois pour une carrière politique fulgurante et un quasi sans faute stratégique et électoral… 

En matière d’immigration, finalement, la France n’est-elle pas complètement à côté de la plaque ? On en débat avec nos invités Najat Vallaud Belkacem ancienne porte parole du gouvernement sous la présidence Hollande, Franck Louvrier ancien conseiller de Nicolas Sarkozy à l'Elysée, Benjamin Morel politologue et constitutionnaliste.

  De l’attaque de Bir Hakeim par un djihadiste, à ces militants d’ultra droite qui envahissent battes et mortiers à la main des quartiers populaires au nom de « islam hors de France », que recouvre la  la notion d’insécurité ? Comment est-elle revenue cette semaine sur le devant de la scène, dans les services de renseignements, dans les discours politiques, dans l’esprit des Français ? Est-elle un sentiment, ou une réalité ? 

 Après quarante-six jours de combats et de bombardements d’une intensité inédite, le gouvernement israélien et le Hamas ont conclu un accord prévoyant la libération de 50 otages détenus par le mouvement islamiste dans la bande de Gaza. Mais ces otages ne représentent qu’un cinquième des personnes enlevées le 7 octobre dernier.  Qui sauver, au risque d’exposer encore plus les autres, et selon quels critères ? Comment peser le pour et le contre des enjeux éthiques, militaires, diplomatiques, stratégiques, politiques ? 

Dans ce territoire occupé par Israël depuis 1967, la colère est en train de prendre une dimension explosive. Depuis le 7 octobre et l’attaque du Hamas, près de 200 Palestiniens ont été tués en Cisjordanie. Les attaques de colons israéliens extrémistes et les incursions ou les raids de Tsahal s’y multiplient.  Le Hamas a appelé à plusieurs reprises les Palestiniens de Cisjordanie, gouvernée par l’Autorité Palestinienne de Mahmoud Abbas, à se soulever, en vain pour l’instant. Mais pour combien de temps ?

En 6 jours, l’exécutif a multiplié les signes de volonté de prendre à bras le corps le fléau du harcèlement scolaire. Pourtant, dans la même semaine, les quatre adolescents soupçonnés d’avoir harcelé Lucas, collégien de 13 ans mort par suicide en janvier 2023, ont été relaxés. Et le soir même de la journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, on apprenait qu’un adolescent de la Roche sur Yon, 16 ans, s’était pendu, vraisemblablement victime lui aussi de harcèlement scolaire. Alors comment dépasser le fossé persistant entre volonté d'agir et résultats concrets ?