• Trump attaqué... - Vos questions sms -
    Jul 15 2024

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    C dans l'air du 15 juillet - Trump attaqué...la campagne électorale bascule

    Les experts :

    - BRUNO TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS, conseiller géopolitique à l’Institut Montaigne
    - ISABELLE LASSERRE - Ancienne correspondante en Russie, correspondante diplomatique - Le Figaro
    - TAMARA BOUSSAC - Historienne, spécialiste de la vie politique des États-Unis Paris 1-Panthéon Sorbonne
    - XAVIER YVON - Chef du service reportages - France Inter, ex-correspondant aux États-Unis
    - ALAIN BAUER (en duplex) - Professeur au CNAM , responsable du pôle sécurité, défense et renseignement
    - SONIA DRIDI (en duplex) - Correspondante aux États-Unis, autrice de "Joe Biden, le pari de l’Amérique anti-Trump"

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  • Trump attaqué...la campagne électorale bascule - L'intégrale -
    Jul 15 2024

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    C dans l'air du 15 juillet - Trump attaqué...la campagne électorale bascule

    Samedi soir, alors qu’il tenait un meeting en Pennsylvanie, Donald Trump a été visé par des tirs et touché à l’oreille. Il a été aussitôt évacué par des agents du Secret Service, chargés de la sécurité des présidents et anciens présidents. Avant de quitter l’estrade sur laquelle il se tenait, le candidat républicain a brandi le poing et a semblé crier le mot "fight" (combat, NDLR). L’image a depuis fait le tour du monde et la trumpania est en force dans le pays.

    Le milliardaire, blessé à l’oreille, est lui arrivé hier soir à Milwaukee dans le Wisconsin où doit se tenir la convention républicaine. "Pas question qu’un tireur m’impose un changement de calendrier" a-t-il expliqué sur son réseau social "Truth Social". L’ancien président a donc tenu son agenda d’autant qu’il doit être investi officiellement par son parti pour la présidentielle de novembre prochain. Un candidat républicain désormais mystifié par ses partisans qui a appelé au "calme" mais ne se prive pas de surfer sur cette tentative d’assassinat. "Je ne devrais pas être ici, je devrais être mort" a assuré Donald Trump dans une interview au New York Post. C'était une "expérience très surréaliste", a-t-il également déclaré alors que les investigations se poursuivent et que le FBI a dévoilé les premiers éléments de l’enquête.

    "Nous enquêtons sur cette tentative d'assassinat, mais la considérons également comme un potentiel acte de terrorisme intérieur", a déclaré l'agent du FBI Bobby Wells à la presse. Selon le FBI, le tireur présumé a été identifié comme étant Thomas Matthew Crooks. Originaire de Pennsylvanie, le jeune Américain de 20 ans a tiré à plusieurs reprises depuis le toit d'un hangar surplombant le rassemblement de campagne de Donald Trump, le blessant à l'oreille et tuant un spectateur. Il a été abattu par les tireurs d'élite du Secret Service. Des expositifs par ailleurs ont été retrouvés dans son véhicule.

    Pourquoi a-t-il essayé d’abattre l'ancien président des Etats-Unis ? A-t-il agi pour des raisons politiques ? Comment a-t-il pu s’installer avec une arme à seulement 130 mètres de Donald Trump ? Le service secret américain va devoir répondre à ces questions alors de nombreuses théories abondent déjà sur les réseaux sociaux.

    De son côté, Joe Biden a appelé les Américains "à faire baisser la température de notre vie politique" au nom l’unité de la nation. La politique n'est pas un "champ de bataille meurtrier" et "la violence ne doit pas devenir quelque chose de normal", a-t-il affirmé dans une allocution solennelle depuis le Bureau ovale à la Maison-Blanche. "Si fortes soient-elles, nos convictions ne doivent jamais sombrer dans la violence. (...) Il est temps de se calmer" a ajouté le président américain. Un candidat démocrate obligé de mettre sa campagne en pause et qui peine toujours à faire oublier son âge et ses absences.

    Alors que sait-on du profil du tireur présumé et des circonstances ? Quelles conséquences sur la présidentielle américaine ? Est-ce un tournant dans la campagne ?

    Les experts :

    - BRUNO TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS, conseiller géopolitique à l’Institut Montaigne
    - ISABELLE LASSERRE - Ancienne correspondante en Russie, correspondante diplomatique - Le Figaro
    - TAMARA BOUSSAC - Historienne, spécialiste de la vie politique des États-Unis
    Paris 1-Panthéon Sorbonne
    - XAVIER YVON - Chef du service reportages - France Inter, ex-correspondant aux États-Unis
    - ALAIN BAUER (en duplex) - Professeur au CNAM , responsable du pôle sécurité, défense et renseignement
    - SONIA DRIDI (en duplex) - Correspondante aux États-Unis, autrice de "Joe Biden, le pari de l’Amérique anti-Trump"

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  • Crise politique : nos institutions vont-elles tenir ? - Vos questions sms -
    Jul 13 2024

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    C dans l'air du 13 juillet - Crise politique : nos institutions vont-elles tenir ?

    Les experts :

    - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions
    - Jérôme FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de La France d’après.
    - Benjamin MOREL - Constitutionnaliste, maître de conférence à l’université Panthéon Assas
    - Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction - Libération

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  • Crise politique : nos institutions vont-elles tenir ? - L'intégrale -
    Jul 13 2024

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    C dans l'air du 13 juillet - Crise politique : nos institutions vont-elles tenir ?

    Qui ira à Matignon ? Six jours après les résultats des élections législatives, les réunions et les tractations se poursuivent entre les ténors du Nouveau Front Populaire pour trouver un accord sur leur futur Premier ministrable commun et son gouvernement. Plusieurs noms circulent mais pour l’heure aucun qui ne fasse consensus. Vendredi les communistes ont défendu avec les insoumis un nouveau nom : celui de Huguette Bello, présidente du conseil régional de La Réunion. Méconnue du grand public, cette figure politique, proche du parti communiste et de LFI, dispose d’une longue expérience de députée et s’est, jusqu’à récemment, attiré les louanges du camp macroniste. Mais sa décision de ne pas voter pour le mariage pour tous en 2012 fait grincer des dents chez les socialistes… Le parti socialiste tient un "conseil national" ce samedi pour soumettre une proposition aux "partenaires" de la coalition de gauche et des "modalités de désignation".

    Dans le camp macroniste, les grandes manœuvres se poursuivent également mais elles sont surtout marquées par la désunion. Alors que Gabriel Attal a terminé seul en lice pour prendre la tête du groupe Renaissance à l’Assemblée, Gérald Darmanin ne cache plus son agacement. Dans un message aux députés Renaissance, le ministre de l’Intérieur a estimé que l’élection de Gavriel Attal ne réglait "aucun des deux problèmes majeurs" : "ni la ligne politique" ni "le fonctionnement du parti". En effet, le camp présidentiel s’interroge sur la stratégie à adopter, entre mains tendues à droite ou à gauche. Et certains ont déjà tranché, c’est le cas de Sacha Houlié. L’ancien président de la Commission des Lois de l’Assemblée nationale a décidé de ne pas siéger aux côtés des députés du parti présidentiel dans la législature qui s’ouvre. L’élu de la Vienne, ancien socialiste, veut créer un groupe indépendant. Derrière lui, plusieurs élus commencent également à s’organiser ou à donner de la voix pour essayer de peser face aux poids lourds issus de la droite dans la recomposition politique à l’œuvre.

    Est-ce le début d’une fronde ? En tout cas, Emmanuel Macron a déploré le "spectacle désastreux" donné par son camp lors d’une réunion de ses ténors à l’Elysée.
    De son côté le président du Sénat a reproché au chef de l'Etat de nous avoir "mis dans le pétrin". "C’est le "en même temps" qui nous a conduits à une forme de dislocation de la vie politique et de la vie publique", a estimé l’ancien ministre chiraquien qui a fermé la porte à une nomination à Matignon et s’est opposé à un hypothétique gouvernement du Nouveau Front populaire.

    Alors qui au perchoir ? Qui a Matignon ? A la veille d’une année parlementaire complexe, rarement la Constitution de la Ve République aura autant fait parler d’elle. Conçue pour permettre à un gouvernement de prendre des décisions en cas de majorité instable ou relative, elle contient de nombreux outils dits de "rationalisation du parlementarisme". Quels sont-ils ? Nos institutions vont-elles tenir ?

    Les experts :

    - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions
    - Jérôme FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de La France d’après.
    - Benjamin MOREL - Constitutionnaliste, maître de conférence à l’université Panthéon Assas
    - Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction - Libération

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    1 hr and 6 mins
  • Crise politique : comment en sortir ? - Vos questions sms -
    Jul 12 2024

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    C dans l'air du 12 juillet - Crise politique : comment en sortir ?

    Présentation: Maya Lauqué

    Les experts :

    BRUNO JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste à La Tribune Dimanche
    ALIX BOUILHAGUET - Éditorialiste politique à France Télévisions
    MATHIEU PLANE - Économiste à l'OFCE, Observatoire Français des Conjonctures Économiques
    BERNARD SANANÈS – Politologue, président de l’Institut de sondage Elab

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    8 mins
  • Crise politique : comment en sortir ? - L'intégrale -
    Jul 12 2024

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    C dans l'air du 12 juillet - Crise politique : comment en sortir ?

    Présentation: Maya Lauqué

    Toujours pas de fumée blanche. Cinq jours après son arrivée en tête aux législatives, le NFP n'a pas avancé encore de nom pour Matignon. Les propositions individuelles, en revanche, se multiplient : hier, les insoumis proposaient quatre personnes : Clémence Guetté, Manuel Bompard, Mathilde Panot ou... Jean-Luc Mélenchon. Une confusion totale donc, qui inquiète de part et d'autres, notamment François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France qui, face à ce « choc d'incertitude », appelle à ne pas « creuser les déficits ».

    Si la gauche patine, la restructuration du Parlement continue avec la création d'un nouveau groupe, celui des « purgés » de LFI, nommé L'Après (Association pour une République écologique et sociale). En macronie, on profite aussi de ce temps de latence : Bruno Le Maire continue ses coupes budgétaires, Macron rassure l'Otan sur ses prérogatives internationales, Gabriel Attal se porte candidat au poste de président du groupe Renaissance à l'Assemblée.

    Du côté des syndicats, la CGT Cheminots appelle à des rassemblements devant les préfectures et l'Assemblée nationale pour exiger la mise en place d'un gouvernement issu du Nouveau Front populaire. Ils appellent Macron à « entendre le résultat des urnes ». Des actions pourraient avoir lieu le jeudi 18 juillet, à une semaine seulement du début des Jeux olympiques dont la sécurité, dans ce contexte, inquiète à plusieurs égards.

    Pendant ce temps, en Italie, la Rai a créé la polémique en cessant de couvrir le second tour des législatives françaises lorsqu’il est apparu que le RN arrivait troisième. La chaîne publique, surnommée « TéléMeloni », a en effet préféré diffuser un reportage sur un festival identitaire. L'opposition politique accuse le groupe audiovisuel de ne pas avoir voulu froisser Giorgia Meloni, la cheffe du gouvernement et figure de l'extrême droite italienne.

    Alors, combien de temps encore Gabriel Attal peut rester à Matignon ? Quel peut être le poids des syndicats dans ce moment politique ? La polémique actuelle autour de la Rai est-elle justifiée ?

    Les experts :

    BRUNO JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste à La Tribune Dimanche

    ALIX BOUILHAGUET - Éditorialiste politique à France Télévisions

    MATHIEU PLANE - Économiste à l'OFCE, Observatoire Français des Conjonctures Économiques

    BERNARD SANANÈS – Politologue, président de l’Institut de sondage Elab

    DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes

    PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40

    PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine

    RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine

    PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions

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  • France ingouvernable ? - Vos questions sms -
    Jul 11 2024

    🎙️ Retrouvez C dans l'air en podcast sur toutes les plateformes d'écoute : https://audmns.com/EUDBMds

    C dans l'air du 11 juillet - France ingouvernable : comment sortir de l'impasse ?

    Présentation: Maya Lauqué

    Les Experts:

    GUILLAUME DARET - Chef adjoint du service politique à France Télévisions

    FRÉDÉRIC DABI - Directeur général Opinion à l'Institut de sondages Ifop, auteur de La Fracture

    MATHILDE SIRAUD - Journaliste politique au Point

    BLANCHE LERIDON - Directrice éditoriale, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles à l'Institut Montaigne

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    3 mins
  • France ingouvernable : comment sortir de l'impasse ? - L'intégrale -
    Jul 11 2024

    🎙️ Retrouvez C dans l'air en podcast sur toutes les plateformes d'écoute : https://audmns.com/EUDBMds

    C dans l'air du 11 juillet - France ingouvernable : comment sortir de l'impasse ?

    Présentation: Maya Lauqué

    Les propositions vont bon train. De Xavier Bertrand à Raphaël Glucksmann, en passant par Manuel Valls ou Carole Delga, les candidats s'accumulent pour Matignon sans qu'aucun ne puisse proposer de coalition suffisamment forte pour ne pas être renversée. Arithmétiquement, les choses semblent bloquées : le RN est mis hors course, la droite de Laurent Wauquiez rejette toutes idées d'alliance; les Insoumis veulent appliquer « rien que leur programme », les centristes ne sont pas assez nombreux.

    Dans sa lettre aux Français parue hier, Emmanuel Macron dit se « laisser un peu de temps » pour nommer le futur locataire de Matignon. Estimant que « personne ne l'a emporté dans les urnes », il en appelle à des compromis dans « un large rassemblement ». « On ne peut pas jouer avec la France » dénonce le président LR du Sénat Gérard Larcher, qui n'a toujours pas digéré la dissolution. « Un déni de réalité » déplore de son côté l'insoumise Manon Aubry. La gauche souhaite que le président les appelle à gouverner. Mais le NFP se cherche toujours un Premier ministre... « On met trop de temps » s'inquiète l'écologiste Sandrine Rousseau.

    La macronie, elle, semble chaque jour se diviser davantage. Le député Sacha Houlié, ancien membre de l'aile gauche du camp présidentiel, a affirmé qu'il ne siégera plus dans le groupe Renaissance. Il explique « travailler » à la constitution d'un autre groupe allant de « la droite sociale à la gauche socialiste ». D'autres, au contraire, penchent pour un rapprochement avec la droite uniquement. Mais plusieurs députés ont annoncé qu’ils feraient alors sécession.

    Pendant ce temps, au RN, l'heure est à l'examen de conscience. Gilles Pennelle, l'homme en charge du « plan Matignon » a démissionné en début de semaine, payant son recrutement de «brebis galeuses » qui ont tant fait polémique. Mais les yeux sont déjà rivés sur un « probable retour aux urnes ». Dans cette optique, Jordan Bardella a demandé à ses députés d'être « parfaitement irréprochables ». La « stratégie de la cravate » continue donc, même si Jordan Bardella prend au Parement européen la tête des Patriotes, nouveau groupe d’extrême droite fondé par... Viktor Orbán.

    Alors, quelle est la stratégie de Macron? Le camp présidentiel est-il en train de se déliter ? Comment le RN peut-il se relever de sa défaite ?

    Les experts :

    GUILLAUME DARET - Chef adjoint du service politique à France Télévisions
    FRÉDÉRIC DABI - Directeur général Opinion à l'Institut de sondages Ifop, auteur de La Fracture
    MATHILDE SIRAUD - Journaliste politique au Point
    BLANCHE LERIDON - Directrice éditoriale, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles à l'Institut Montaigne

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