Bienvenue dans le 4ème et dernier épisode de cette saison 4 de notre podcast Chronic dédié au syndrome des ovaires polykystiques, SOPK.

En septembre, à l'occasion du mois de sensibilisation au SOPK, nous vous offrons une série d'épisodes consacrés à ce syndrome qui touche de nombreuses femmes. Grâce au soutien de l'association SOPK Europe, nous explorerons en profondeur différentes thématiques.

Aujourd'hui, nous allons plonger dans le quotidien de Marianne, une femme de 36 ans qui vit avec le syndrome des ovaires polykystiques, ou SOPK. Diagnostiquée à l'âge de 14-15 ans par sa dermatologue et son endocrinologue, après avoir souffert d'acné sévère et de pilosité excessive, Marianne a traversé de nombreux défis.

Vers 17-18 ans, Marianne a connu une prise de poids significative, des règles irrégulières et des épisodes de déprime. À 24 ans, elle avait des cycles menstruels très espacés, avec des règles tous les trois mois qui duraient trois semaines. Heureusement, la pilule contraceptive lui a permis de retrouver un cycle plus régulier.

Pour gérer l'hirsutisme, Marianne a essayé différentes méthodes : dissimuler, décolorer, raser, et finalement, le laser. Elle a pris plus de 30 kilos ces dernières années et a testé divers régimes sans succès. Ces symptômes ont un impact profond sur son estime de soi, et elle trouve un soutien précieux notamment grâce à sa psychologue et sa mère.

Dans cet épisode, Marianne partage avec nous ses luttes, ses espoirs et ses conseils précieux pour les femmes vivant avec le SOPK. Préparez-vous à être inspirés par son courage et sa résilience.

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🩷 Cet épisode est rendu possible par Le Laboratoire CCD, présent aux côtés des femmes ayant un SOPK grâce à ZYTOLIA, sa denrée alimentaire destinée à des fins médicales spéciales spécifiquement formulée pour les besoins nutritionnels des femmes atteintes de SOPK. Pour votre santé, limitez les aliments gras, salés sucrés.

Liens utiles :

• Le syndrome des ovaires polykystiques

• SOPK Europe

• Trouver un professionnel spécialiste du SOPK

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Bienvenue dans le 3ème épisode de cette saison 4 de notre podcast Chronic dédié au syndrome des ovaires polykystiques, SOPK.

En septembre, à l'occasion du mois de sensibilisation au SOPK, nous vous offrons une série d'épisodes consacrés à ce syndrome qui touche de nombreuses femmes. Grâce au soutien de l'association SOPK Europe, nous explorerons en profondeur différentes thématiques.

Aujourd'hui, nous abordons un sujet crucial le syndrome des ovaires polykystiques et son impact sur la fertilité. Pour nous éclairer sur ce sujet, nous avons l'honneur de recevoir le Professeur Sophie Catteau-Jonard, professeur de gynécologie médicale au CHU de Lille. Spécialiste du SOPK, elle et son équipe mènent des recherches approfondies pour mieux comprendre et traiter cette pathologie complexe.

Dans cet épisode, nous allons plonger au cœur des troubles hormonaux liés au SOPK, découvrir comment cette maladie peut affecter la fertilité et explorer les différentes solutions disponibles pour aider les femmes à concevoir. Le Pr Catteau-Jonard nous expliquera les différences entre stérilité, infertilité et hypofertilité, et comment le SOPK peut rendre la conception plus difficile pour certaines femmes.

Nous aborderons les principaux défis rencontrés par les femmes atteintes de SOPK lorsqu'elles essaient de concevoir.

Enfin, nous explorerons les différentes stratégies pour améliorer la fertilité, allant de la perte de poids et l'augmentation de l'activité physique à une alimentation plus saine et l'utilisation de compléments alimentaires.

Rejoignez-nous pour une discussion approfondie et éclairante sur le SOPK et la fertilité, avec des conseils pratiques et des informations essentielles pour toutes les femmes concernées par le SOPK ainsi que pour leur entourage.

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🩷 Cet épisode est rendu possible par Le Laboratoire CCD, présent aux côtés des femmes ayant un SOPK grâce à ZYTOLIA, sa denrée alimentaire destinée à des fins médicales spéciales spécifiquement formulée pour les besoins nutritionnels des femmes atteintes de SOPK. Pour votre santé, limitez les aliments gras, salés sucrés.

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Bienvenue dans le 2ème épisode de cette saison 4 de notre podcast Chronic dédié au syndrome des ovaires polykystiques, SOPK.

En septembre, à l'occasion du mois de sensibilisation au SOPK, nous vous offrons une série d'épisodes consacrés à ce syndrome qui touche de nombreuses femmes. Grâce au soutien de l'association SOPK Europe, nous explorerons en profondeur différentes thématiques.

Aujourd'hui, nous nous penchons sur la prise en charge du syndrome des ovaires polykystiques, ou SOPK. Pour nous éclairer sur ce sujet complexe, nous avons le privilège d'accueillir le Dr Jean-Marc Levaillant, gynécologue, obstétricien et échographiste, qui exerce au sein du service de Procréation Médicalement Assistée (PMA) de Créteil.

Le Dr Levaillant va nous expliquer ce qu'est le SOPK, un syndrome qui touche 15% des femmes à travers le monde. Il s'agit de la cause la plus fréquente de troubles endocriniens, de troubles du cycle menstruel, d'excès de pilosité et d'infertilité féminine. Contrairement à ce que son nom pourrait laisser penser, le SOPK n'implique pas la présence de kystes mais bien un excès de follicules ovariens en croissance dans les ovaires.

Nous apprendrons qu'il ne s'agit pas d'un syndrome unique, mais de plusieurs syndromes aux manifestations variées, incluant des troubles menstruels pouvant aller jusqu'à l'absence totale de règles, l'hirsutisme, l'acné sévère et la présence de multiples follicules au sein de l'ovaire. Le SOPK peut également être associé à des syndromes métaboliques tels que le diabète et l'obésité.

Au cours de cet épisode, nous explorerons les différentes méthodes de diagnostic, y compris l'échographie pour le comptage des follicules et les bilans hormonaux pour exclure d'autres pathologies. Le Dr Levaillant nous présentera également les principales options de traitement disponibles, allant de la contraception à une hygiène de vie adaptée, en passant par l'activité physique, la nutrition et l'accompagnement global des patientes.

Restez avec nous pour une discussion riche et informative sur la prise en charge et les traitements du SOPK.

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