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Choses à Savoir TECH

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  • Tout ce qu'il faut savoir dans le domaine de la Tech et d'Internet.

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Episodes
  • NVIDIA perd 200 milliards en 24h à cause de Trump ?
    Jul 25 2024

    Nvidia, après avoir récemment atteint le sommet de la capitalisation boursière, surpassant Microsoft et Apple, a subi une chute brutale. Dans une interview à Bloomberg Businessweek publiée mardi, Donald Trump, en pleine campagne présidentielle, a déclaré qu'il ne défendrait Taïwan contre la Chine que si l'État insulaire acceptait de payer les États-Unis. Cette déclaration a suffi à perturber le cours de l'action Nvidia.


    Mi-juillet, l'action Nvidia a chuté de 6,62 %, tombant à 117,9 dollars. Cette baisse a entraîné une perte de 192 milliards de dollars en une journée pour l'entreprise, spécialisée dans les cartes et processeurs graphiques. Interrogé sur sa volonté de défendre Taïwan en cas d'invasion chinoise s'il revenait au pouvoir en 2025, Trump a exprimé son "énorme respect" pour le peuple taïwanais, tout en soulignant que "100 % de (son) activité de puces électriques" avaient été transférés à Taïwan. Il a ensuite affirmé que Taïwan devrait payer pour sa défense, comparant la situation à une police d'assurance et accusant l'État de ne rien offrir en retour, malgré sa richesse.


    Trump, qui a récemment échappé à une tentative d'assassinat, a également critiqué la dépendance américaine envers Taïwan pour les puces électroniques, affirmant que des dirigeants "stupides" avaient permis cette situation. Ses propos ont ébranlé le marché, Apple perdant 2,53 % et Nvidia 6,62 % en fin de journée mercredi. Les déclarations de Trump interviennent dans un contexte où Pékin considère Taïwan comme partie intégrante de son territoire, avec Xi Jinping affirmant l'inévitabilité de la réunification. Taïwan produit environ 66 % des puces électroniques avancées mondiales, contre seulement 6 % pour les États-Unis. TSMC, principal fabricant de puces pour Nvidia et Apple, réalise la majorité de ses productions à Taïwan, accentuant l'impact des tensions géopolitiques sur le marché.


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  • Une vie numérique simulée par Google ?
    Jul 24 2024

    Sur Terre, la vie trouve toujours un moyen de se développer, et il semble que les mêmes principes puissent s'appliquer au code informatique. Une étude menée par des chercheurs de Google révèle que des formes de "vie" numérique autoréplicatives ont émergé à partir de données aléatoires, laissées en simulation sur plusieurs millions de générations.


    Les chercheurs ont utilisé un langage de programmation appelé Brainfuck, qui n'autorise que deux opérations mathématiques : l'addition et la soustraction d'une unité. Ils ont créé une sorte de soupe numérique primitive, permettant aux données aléatoires d'interagir librement entre elles, sans règles préétablies ni impulsions extérieures. Un peu comme des molécules, ces données ont été laissées à elles-mêmes pour exécuter leur propre code et interagir avec leur environnement immédiat. Après plusieurs millions de générations, les chercheurs ont observé la création d'éléments plus complexes capables de s'autorépliquer. Bien que cela ne constitue pas véritablement de la vie, cette autoréplication spontanée montre que le code peut trouver des solutions pour se complexifier de manière autonome, rappelant le processus de création des organismes vivants.


    Les scientifiques de Google estiment que cette étude pourrait offrir de nouvelles perspectives sur les voies menant à l'origine de la vie. Ils suggèrent qu'une puissance de calcul plus élevée permettrait d'obtenir des résultats encore plus avancés et complexes en matière d'autoréplication numérique. Cette recherche ouvre des avenues fascinantes pour la compréhension des processus fondamentaux de la vie et démontre une fois de plus l'ingéniosité des systèmes numériques à s'organiser et à évoluer de manière autonome.


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  • De l’IA pour reprogrammer le cerveau des criminels ?
    Jul 23 2024

    Imaginez avoir le choix entre une longue peine de prison ou quelques minutes d'une séance de reprogrammation cérébrale avec l'implantation de faux souvenirs traumatisants. Cette dystopie, c'est l'idée du controversé Hashem Al-Ghaili, scientifique, réalisateur et vulgarisateur scientifique. Connu pour ses concepts audacieux comme la greffe de tête par IA et EctoLife, des capsules automatisées pour remplacer la grossesse, il propose maintenant Cognify, une vision futuriste de la prison.


    Dans un court-métrage publié récemment, Al-Ghaili présente une technologie dirigée par une intelligence artificielle avancée. Les condamnés sont placés dans des modules équipés de casques qui cartographient leur activité neuronale. L'IA cible alors des zones spécifiques du cerveau pour garantir leur réhabilitation. Par exemple, un criminel violent revivrait intensément le traumatisme de ses victimes, ressentant chaque émotion et douleur. L'objectif est d'implanter ces faux souvenirs réalistes pour susciter des remords profonds et prévenir toute récidive.


    Ce concept rappelle celui d'Alex DeLarge dans "Orange Mécanique", avec l'IA et la technologie en plus. Ce traitement, qui plonge le condamné dans un enfer mental adapté à sa personnalité et son état psychologique, pourrait le réintégrer dans la société après quelques minutes seulement, au lieu de plusieurs années de prison. Une solution potentielle à la surpopulation carcérale. Si l'idée paraît farfelue, elle repose sur des bases scientifiques. Des chercheurs ont déjà réussi à implanter de faux souvenirs chez des souris, cherchant des moyens de transformer des souvenirs traumatisants en souvenirs positifs. Mais des questions éthiques subsistent, notamment sur l'authenticité de soi. Rappelons toutefois qu'il ne s'agit que d'un concept pour l'instant. L'idée de Hashem Al-Ghaili, bien que dérangeante, ouvre un débat sur l'avenir des sanctions pénales et le potentiel des technologies de manipulation cérébrale pour la réhabilitation.


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