Hello ! Aujourd'hui, je vous parle d'une expérience que je vis depuis un peu plus d'un an. La déréalisation. Elle touche 2% de la population, mais l'on estime que 50 à 70% de personnes experimentent au moins une fois dans leur vie une "petite déréalisation", qui ne durent que quelques heures, ou jours. Et vous, l'avez-vous vécue ?

Bonjour à tous et bienvenue dans le 3e épisode de Débordée. Aujourd’hui, j’ai envie de chialer. Voilà le thème. 

Il parait que les hommes n’aiment pas les femmes qui pleurent. Et Il parait que les femmes fortes ne pleurent pas.. il parait il parait.. 

Depuis la nuit des temps, les femmes fortes, les femmes de caractères, sont des femmes faites de marbres, capables d’encaisser les coups de la vie, sans jamais vaciller, toujours droite, le menton haut, la démarche assurée. On retrouve encore aujourd’hui cette version de la femme forte, mais elle à été remplacé par la Bad Bitch. La femme forte, indépendante, qui n’a pas besoin des hommes, qui assume son corps, qui assume sa sexualité. Mais, je me demande…Ces femmes là, ont-elles des émotions ? Apparemment non.  Mais où sont les femmes qui assument leurs émotions ? Où sont les femmes qui pleurent mais qui sont fortes quand même ?

Bonjour à tous et bienvenue dans ce deuxième épisode de DÉBORDÉE ! 

Aujourd’hui, on se retrouve pour un épisode, dans lequel nous allons parler : du sentiment d’échec, mais surtout d’orientation, de chemin de vie.  

En ce moment, je suis perdue. Ça y est, ça fait un an que je suis au chômage. Un an, que j’essaie de me reconstruire. L’année dernière au mois d’août, après deux ans de covid en entreprise, à broyer du noir, j’ai fais un burn-out. Un burn-out qui m’a empêché de réfléchir, qui m’a épuisé psychologiquement, physiquement, même spirituellement. J’ai quitté mon travail avec un sentiment énorme d’échec. Ah l’échec, ce sentiment horrible..