Début janvier, comme plus de 100 millions de spectateurs depuis octobre 1997, j’ai assisté à une représentation de la comédie musicale Le Roi Lion au théatre Mogador, à Paris.

Si j’ai été enchantée par le spectacle dès la première scène, j’ai également
été fascinée par le chef d’orchestre qui dirigeait les musiciens. Ce chef d’orchestre, conductor, comme il aime à le dire, c’est Dominique Trottein.

Et j’ai eu la chance qu’il vienne me raconter son parcours, sa passion pour la musique et son ouverture d’esprit.

S’il oeuvre aujourd’hui sur la scene de Mogador, c’est aussi un des rares chefs d’orchestres francais qui officient sur les scènes francaise et internationale.

De la Traviata à Carmen en passant par Faust, Cosi fan tutte ou Mc Beth, Dominique est partout ou son envie le guide.

Je me suis toujours demandée ce que signifiaient ces gestes, comment les musiciens faisaient pour les déchiffrer, quels étaient ces codes et qui étaient ces hommes et ces femmes en queue de pie qui donnaient des ordres à tous ces musiciens… si comme moi vous pensez à Louis de Funes dans les premières scenes de la grande vadrouille quand on vous dit chef d’orchestre, alors vous êtes au bon endroit.

Allez, sortez les archets, on va battre la mesure !

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