Derrière Fraté, la fiction, il y a quelques inspirations « du réel »… Ainsi, le Secours Catholique de Pamiers, à une soixantaine de kilomètres de Toulouse, a pignon sur rue. Ici, les bénéficiaires, devenus souvent, au fil du temps, des bénévoles, participent ou animent des ateliers jeux, crochets, des cours de cuisine ou des après-midi pétanque. L’occasion de se sentir moins seuls et aussi plus utiles.

Reportage : Karine Le Loët

Réalisation : François-Charles Domergue

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Derrière Fraté, la fiction, il y a quelques inspirations « du réel »… Ainsi, dans le quartier Bonnefoy, au Nord de Toulouse, on trouve la Maison des familles. C’est la 13e institution de ce genre en France, portée par le Secours Catholique et Apprentis d’Auteuil. Dans ce local qui s’organise autour d’un salon, d’une cuisine, d’un espace jeux, les parents viennent s’amuser avec leurs enfants, suivre des ateliers ou juste souffler un peu, entre adultes… Deux salariés et une équipe de bénévoles les accueillent. Ils s’attachent à rompre l’isolement de ces mamans ou plus, rarement, des quelques papas qui poussent la porte.

Reportage : Karine Le Loët

Réalisation : François-Charles Domergue

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Derrière Fraté, la fiction, il y a quelques inspirations « du réel »…Ainsi, l’Ostalada est un lieu d’accueil de jour en plein coeur de Toulouse, à deux pas de la basilique Saint Sernin. A partir de 8h30 chaque matin, les bénéficiaires viennent prendre un petit déjeuner, une douche, faire une lessive. Un lieu animé où les gens se croisent et échangent, sous le regard bienveillant des bénévoles et d’Andrew, le patron du lieu, lui aussi passé par la rue.

Reportage : Karine Le Loët

Réalisation : François-Charles Domergue

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C’est comme une pause, dans « la guerre qu’on fait dehors, aux pauvres et aux exilés », comme dit Mitch. Une éclaircie poétique, musicale, collective plus que jamais. Pauline a motivé les voix, Gabrielle a rassemblé ses troupes, chacun est venu pour les autres. Aujourd’hui comme demain.

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Quelques grandes confidences, de celles qui résument une vie, se partagent. Des mystères sont en passe de se résoudre. Et un grand rendez-vous se prépare… Alors qu’on aurait peut-être enfin des nouvelles de Souleymane.

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Points sur les « i » et fermes résolutions. Pendant que Gabrielle dit le fond de sa pensée et de son engagement, Pauline retrouve l’espoir, soutenue par l’esprit de L’Esquif. Mitch partage quelques unes de ses vérités bourrues avec Gaspard, le fils de Pauline. Et c’est comme si les voix s’accordaient.

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Souleymane, migrant guinéen sans papier, est en cavale. Pauline s’en veut. Le vrai coupable, dit Gabrielle, « c’est le non respect du droit d’asile ». Les enfants de Pauline, Gaspard et Lila, viennent lui rendre visite. Elle est bouleversée, mais la petite famille de L’Esquif pourrait bien trouver un moyen de continuer à la jouer collective…

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Les bénéficiaires de L’Esquif font ce qu’ils peuvent dans les restes du local, après l’incendie. Au milieu des débris, c’est comme une famille qui fait les cent pas. La mairie devrait leur trouver un autre lieu, mais ça traîne. Souleymane, le migrant guinéen au verbe haut, a été héroïque. Il fait le récit glaçant de son parcours lors d’un conseil de quartier. Pauline part avec lui faire un tour, mais il va devoir à nouveau dévier de son chemin. 

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