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Les maladies Karmiques

By: Jonathan Le Goéland
  • Summary

  • Si j’ai été amené à me préoccuper de la nature subtile du corps humain et, par voie de conséquence, d’une approche non conventionnelle de sa santé, c’est parce que la vie m’y poussait. De quelle façon ? En me dotant depuis l’enfance de la capacité de voir les auras, c’est-à-dire en m’offrant une prise directe et concrète avec l’abstrait.

    Lorsqu’au long de cet ouvrage, je vous entretiendrai des corps subtils, je ne vous parlerai donc pas de philosophie ni de théories. Je ferai uniquement référence à mon vécu.

    Au fil des années, je n’ai cessé de constater que l’être humain est avant tout une mémoire. Une mémoire qui ne se manifeste pas simplement au niveau de la conscience mais qui imprègne toutes les couches de sa réalité jusqu’au cœur de la cellule. Une mémoire aussi qui transcende le temps, qui en permet une autre compréhension. Plus exactement enfin, une mémoire qui ne se limite pas à l’espace bien circonscrit d’une vie, mais qui se répercute possiblement d’une existence à une autre.

    D’observations en observations, les évidences ont fini par s’imposer à moi. Celle, tout d’abord, que l’âme humaine ne connaît pas qu’une seule existence dans un corps mais s’incarne un grand nombre de fois. Celle, ensuite, que cette âme transporte avec elle, bien qu’inconsciemment, ses souvenirs, c’est-à-dire ses capacités et ses handicaps. Ce sont ces derniers qui peuvent être à l’origine de certains grands troubles de la santé et que l’on appelle "maladies karmiques". Les pages qui suivent présupposent toutes, de ce fait, la réalité de la réincarnation.



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Episodes
  • Les maladies karmique - Avant toute chose
    Jul 24 2024

    Avant toute chose...


    Depuis une bonne vingtaine d’années beaucoup d’études ont été menées relativement à la nature énergétique du corps humain. Conformément à certaines traditions, pour la plupart issues de l’Orient ou alors en marge de celles-ci, de nombreux chercheurs, thérapeutes, écrivains ou compilateurs se sont donc appliqués à explorer la structure subtile de notre être.

    À vrai dire, il était plus que temps que notre Occident, bloqué par une approche de la vie somme toute très monolithique, manifeste un début d’ouverture face à des concepts et à des réalités qui ne sont pas directement accessibles à nos seuls cinq sens.

    Contrairement à l’opinion générale admise, une telle amorce d’ouverture, lorsqu’elle est menée de façon équilibrée, ne sous-entend absolument pas une plongée dans l’irrationnel. Elle fait même appel à la raison. Je dirais aussi qu’elle requiert d’abord du bon sens, celui qui devrait nous empêcher de nous cramponner à des dogmes et à une vision finie de nous-mêmes puis de ce qui nous entoure. À notre époque, où il devient de plus en plus banal de vivre parmi les ondes, de côtoyer les hologrammes, de jongler avec les mondes virtuels et de parler de cyberespaces, il n’est en effet plus logique et guère davantage rationnel de ne concevoir l’être humain que comme le fruit de quelques combinaisons chimiques et d’influx électriques dus à un coup de maître du hasard.

    Quant à moi, ce ne sont pas des études au sens classique du terme qui m’ont fait me pencher sur le domaine qui constitue l’essence de ce livre. C’est une multitude d’observations "sur le vif" suivies de leurs rapprochements.

    Si j’ai été amené à me préoccuper de la nature subtile du corps humain et, par voie de conséquence, d’une approche non conventionnelle de sa santé, c’est parce que la vie m’y poussait. De quelle façon ? En me dotant depuis l’enfance de la capacité de voir les auras, c’est-à-dire en m’offrant une prise directe et concrète avec l’abstrait.

    Lorsqu’au long de cet ouvrage, je vous entretiendrai des corps subtils, je ne vous parlerai donc pas de philosophie ni de théories. Je ferai uniquement référence à mon vécu.

    Au fil des années, je n’ai cessé de constater que l’être humain est avant tout une mémoire. Une mémoire qui ne se manifeste pas simplement au niveau de la conscience mais qui imprègne toutes les couches de sa réalité jusqu’au cœur de la cellule. Une mémoire aussi qui transcende le temps, qui en permet une autre compréhension. Plus exactement enfin, une mémoire qui ne se limite pas à l’espace bien circonscrit d’une vie, mais qui se répercute possiblement d’une existence à une autre.

    D’observations en observations, les évidences ont fini par s’imposer à moi. Celle, tout d’abord, que l’âme humaine ne connaît pas qu’une seule existence dans un corps mais s’incarne un grand nombre de fois. Celle, ensuite, que cette âme transporte avec elle, bien qu’inconsciemment, ses souvenirs, c’est-à-dire ses capacités et ses handicaps. Ce sont ces derniers qui peuvent être à l’origine de certains grands troubles de la santé et que l’on appelle "maladies karmiques". Les pages qui suivent présupposent toutes, de ce fait, la réalité de la réincarnation.

    Les pénétrer demandera donc au lecteur d’accepter, dès le départ, le postulat des vies antérieures ou, tout au moins, d’y être ouvert.

    Vous le constaterez, mon but n’est pas d’y prouver quoi que ce soit ni d’y prêcher une quelconque doctrine. Simplement, j’y témoigne de cas marquants et significatifs, tous authentiques, qui sont susceptibles d’amener des réflexions et des prises de conscience.

    Les maladies karmiques ne s’adresse certainement pas davantage à des convaincus qu’à des sceptiques. Il s’agit d’abord d’un livre à lire avec la tête et le cœur en acceptant d’éliminer le maximum d’a priori puis d’accumuler les pourquoi pas ? C’est, en résumé, un outil de maturation et de réflexion.



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  • Les maladies karmiques - Chapitre 1 : Premières approches
    Jul 24 2024

    Cathy venait juste de franchir la porte de ma salle de travail. La quarantaine, très soignée de sa personne, elle laissait néanmoins percer, dans la profondeur de son regard, une forme de tristesse ou de lassitude. C’était la première fois que nous nous rencontrions. Je ne savais rien d’elle en dehors de ce qu’elle avait tenu à me confier par lettre.

    « Depuis ma vingtième année, m'avait-elle écrit, je souffre de terribles crises d'asthme. Hormis de courtes périodes de répit, ma vie a toujours été ponctuée par les manifestations régulières de cette maladie. Rien n’y fait. Comme vous vous en doutez, j'ai tout tenté, j'ai goûté à tous les produits, à toutes les cures. Bien sûr, il y a eu des moments d'accalmie, d'amélioration même, au cours desquels j'ai cru pouvoir m'en sortir mais, invariablement, les crises ont réapparu et je me retrouve aujourd'hui au même point. »

    L’histoire de Cathy, tout au moins dans ce que j’en savais, était classique : un emploi de secrétaire de direction dans une petite société, un mari avec lequel elle disait être heureuse et trois enfants dont un entrait à l’Université. Beaucoup moins classique était cependant cette démarche qui l’amenait vers moi. Ouverte à l’idée que l’être humain est beaucoup plus que ce que la biologie et ses microscopes mettent en évidence, elle en était venue à me demander une lecture de son aura, ultime démarche, me disait-elle, dans ses tentatives de recouvrer la santé. Au-delà même d’espérer encore retrouver une vie normale, c’est-à-dire loin des urgences des hôpitaux et des pompes à cortisone, elle voulait tout au moins comprendre, autant que cela se pouvait, le pourquoi de ce handicap.

    La lecture d’aura prévue débuta donc de façon conventionnelle (Voir "Les Robes de Lumière" d’Anne et Daniel Meurois-Givaudan. Edition Amrita). À l’aide d’un variateur de lumière, je fis la pénombre et Cathy alla se placer face à moi, le dos à un mur blanc. Cependant, au bout de quelques minutes consacrées à la perception et à l’étude des premières radiations ou manifestations lumineuses de son corps, mon travail changea complètement d’orientation. Ce n’était plus les réseaux d’énergie subtile parcourant les diverses couches de son aura qui voulaient s’exprimer.

    La silhouette de Cathy s’effaça de mon champ de vision. Un grand voile de lumière blanche, semblable à un écran laiteux s’était spontanément substitué à elle en une fraction de seconde, estompant du même coup le cadre de ma salle de travail. Sachant ce que cela laissait augurer, je m’abandonnai à cet état de fait. Sur l’écran laiteux, une scène apparut bien vite, une scène en mouvement, en couleurs, en sons, en reliefs. Tout mon être se trouvait projeté non seulement dans un décor, mais dans une action.

    Le ciel était blanc, il faisait humide et "nous " étions dans une grande cour semblable à celle d'une usine désaffectée. À l'une de ses extrémités, il y avait des petits bâtiments en briques recouverts de tôles. Sur le sol, c'était de la boue. Des flaques d'eau partout... Il y avait beaucoup de femmes dans cette cour. Elles marchaient, ou plutôt se traînaient en rangs vers je ne savais quoi sous la garde de quelques soldats, mitraillettes au poing. L'atmosphère était épouvantable et j'ai tout de suite compris dans quel terrible passé ma vision m'entraînait.



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