• Les amants de la guillotine

  • By: Le Point
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Les amants de la guillotine

By: Le Point
  • Summary

  • Au XIXe siècle, la guillotine ne chômait pas. La justice était sans pitié pour les criminels. Les têtes roulaient par centaines. C’est le tragique destin de certains de ces hommes et femmes condamnés à la peine capitale que ce podcast évoque. C’est l’abbé Bruneau qui jette dans un puits son curé pour le voler. C’est la Sophie qui se débarrasse de ses nouveau-nés en leur plantant une aiguille dans le cœur. C’est Vodable qui viole et tue la fille de sa maîtresse. C’est encore Jules-Isaac qui arrache la langue de sa grand-mère avant de l’assassiner. Des crimes misérables et sordides qui leur vaut la peine de mort. À l’époque, la justice est expéditive et sans appel. Le plus souvent, l’exécution suit le crime de quelques mois. Le spectacle attire la foule, adultes et enfants mêlés. Chacun épie avec gourmandise, le moindre signe de faiblesse du condamné devant la « Raccourcisseuse ». Certains pleurent, d’autres plastronnent. Leurs cadavres sectionnés en deux sont enterrés à la va-vite dans le carré des condamnés à mort du cimetière local ou encore finissent entre les mains des étudiants en médecine. Oyez, oyez, le destin tragique des assassins du XIXe siècle !

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Episodes
  • Bande-annonce : Les amants de la guillotine
    Sep 25 2020
    Au XIXe siècle, la guillotine ne chômait pas. La justice ne tremblait pas devant la peine capitale. Ce podcast relate le destin tragique de onze meurtriers ayant tous eu le cou tranché. Certains affronteront la guillotine avec courage, d’autres avec terreur. Régalez-vous ! 

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    1 min
  • Adolphe et Gustave, meurtriers à 19 ans
    Oct 1 2020
    Adolphe et Gustave font partie d'une bande de jeunes voyous d'Asnières. Ils se retrouvent souvent chez la daronne d'Adolphe, la mère Berland. À 55 ans, celle-ci continue à se prostituer pour compléter son maigre salaire de marchande de journaux. Elle n'hésite pas à recevoir ses clients dans le lit qu'elle partage avec son fils. Lequel continue de dormir pendant que sa mère gagne son pain. Un jour, un client a même la mauvaise idée de mourir en pleine action. Comment s'en débarrasser ? Le couple se contente de le pousser dans un coin. Au bout de deux jours, l'odeur du cadavre alerte les voisins, qui préviennent la police. Le corps est emporté dans un vieux sac à patates, faute de draps dans l'appartement.Comme le commerce de la mère Berland commence à battre de l'aile, vu son âge, elle incite son fils et ses amis à pratiquer le vol à l'étalage. Elle fonde, en quelque sorte, une école du crime, pour les initier au vol avec effraction et à l'attaque à main armée. Mais là encore, les affaires marchent mal. Alors, elle décide de faire un gros coup. Un soir de décembre 1890, elle réunit la petite bande chez elle pour choisir une première victime. Finalement, c'est la proposition de Gustave qui l'emporte. Il soumet le nom de la veuve Menier-Dessaigne à qui il avait livré de la viande lorsqu'il était apprenti chez un boucher. Octogénaire, la veuve habite une maisonnette à Courbevoie. Elle a sûrement de l'oseille cachée chez elle. Détail macabre, sa mère et sa sœur avaient déjà été assassinées.Après avoir repoussé à plusieurs reprises l'attaque, la bande passe à l'action le 12 janvier 1891. Avant de partir, pour se donner du courage, ils avalent un repas plantureux composé de lapin, de poulets et d'un vol-au-vent, volés chez les commerçants locaux. Vers 18 heures, Adolphe et Gustave, accompagnés par deux complices, se présentent devant la grille du jardin de la veuve. Gustave la force d'un coup d'épaule. Dans la pénombre, Gustave et Adolphe se dirigent vers la porte de la maison, tandis que les deux autres font le guet.Apercevant par la fenêtre l'octogénaire seule en train de lire à haute voix le feuilleton du journal, ils poussent la porte d'entrée déverrouillée. En les voyant, la veuve sursaute, leur demande qui ils sont ? Les deux voyous lui présentent une lettre qui lui est soi-disant adressée. Elle tend la main. Au lieu de la missive, elle reçoit de la part d'Adolphe un violent coup de tête dans la poitrine. Elle chute lourdement. Mais son calvaire ne fait que commencer. Le misérable s'agenouille sur elle, la bâillonne avec son poing avant de s'acharner à lui arracher la langue pour l'empêcher de crier. Mais la vieille est une dure à cuire. Elle se débat comme une furie. Elle cogne le sol avec ses jambes. Le voyou veut alors la maîtriser en se jetant sur elle tout en lui martelant la figure à coups de poing.Comme cela ne suffit pas, Gustave vient prêter main-forte à son pote. Il saisit un poinçon qu'il avait emporté à tout hasard et porte deux coups terribles à la tempe de la veuve, au grand dam de sa cervelle. La veuve Dessaigne se met à… saigner et à râler. Gustave l'abandonne pour se précipiter à l'étage avec l'un des deux guetteurs ayant accouru, attiré par le bruit. Tous deux saccagent les meubles, éventre les matelas, à la recherche d'argent, mais ils ne mettent la main que sur 23 francs et 20 centimes et des couverts en argent. Tu parles d'un butin ! En bas, ils retrouvent Adolphe dansant sur le cadavre de la vieille réduit à une charpie sanglante. Gustave la déshabille pour la montrer nue à ses complices, puis il s'empare de pain et de viande froide dans la cuisine pour calmer sa faim.Enfin, les quatre gredins se carapatent dans les rues de Courbevoie, se lavant à une fontaine pour faire disparaître les éclaboussures de sang. Puis ils retrouvent la mère Berland à qui il revient de partager entre eux le maigre butin. « Ça, c'est bien travaillé, mes enfants », les félicite-t-elle. Enfin, la bande se rend au théâ...

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  • Joseph Philippe, l’éventreur de prostituées
    Oct 13 2020
    Vingt ans avant Jack l’Éventreur, un ex-militaire français massacre au moins douze prostituées. Il aura la tête coupée le 24 juillet 1866.

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