Pour ce sixième et dernier épisode de la première saison des Doigts dans la Prise, Romain Salas termine en beauté.

Face à lui, un autre Romain : Romain Lucazeau. Gagnant du Grand Prix de l'Imaginaire 2017, avec son roman Latium, l'écrivain de science-fiction fait aussi partie de la Red Team, la bande d'une dizaine d'auteurs de science-fiction, bossant pour l'Agence de l'innovation de défense, rattachée au Ministère des Armées. Leur mission ? Imaginer des scénarios réfléchissant aux futures menaces que le pays pourrait rencontrer. Evidemment, ça parle d’armes hyper véloces, de puçages électroniques et de bulles de perception, mais aussi - et c’est là que ça nous intéresse - de la montée des eaux, d’ascenseur spatial bas carbone et de militantisme low-tech.

Ou comment les scénarios de science-fiction intègrent les enjeux climatiques et énergétiques.

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Romain Salas ouvre son coeur au soleil et à un Marseillais, Pierre-André Aubert, chef du premier restaurant solaire d'Europe.

Oubliez le four électrique, les plaques classiques de cuisson ou le barbecue au charbon, Pierre-André mijote ses plats sans gaz ni électricité dans sa guinguette du 13è arrondissement de Marseille, par la seule force des rayons solaires.

Bienvenue à toi, guinguette Le Présage, pour ce 5è épisode des Doigts dans la Prise.

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Pour ce 4ème épisode, on s’attaque aux énergies renouvelables et à la manière dont on les développe sans dégrader la biodiversité. Parce que oui, installer des éoliennes et des barrages, c’est plutôt une bonne nouvelle pour le climat, mais pas toujours pour les vivants qui habitent à côté. Et pour parler de ce thème, Romain Salas accueille Mélanie Le Bris, 34 ans, qui est chargée de mission biodiversité à Engie Green.

Les Doigts dans la Prise, tome 4, c’est parti !

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