FR

Il y a des artistes qui découvrent combien d'euros ils ont gagné, seulement qu'une seule fois par an 🤯 et c'est assez courant dans l'industrie ! Pourquoi ? Storytime 👇🏾

L'argent est roi, mais les flux de trésorerie sont traités comme des valets !

→ Beaucoup d'organisations dans l’art ou l’entertainment gèrent leurs artistes avec des infrastructures vieillissantes

→ Les artistes et les créateurs de contenu ne reçoivent pas de "fiches de paie" mensuelles, et sont même parfois frustrés car les montants versés ne sont pas corrects.

→ Les artistes et les créateurs de contenu sont confrontés à des problèmes de gestion de leur vie personnelle (comment acheter une maison lorsque vous recevez qu'une déclaration de droits d'auteur annuelle ? 🤔)

Mohammed BELGHITI, après avoir travaillé dans la finance d'entreprise et créé une entreprise dans le domaine du merchandising alimenté par les artistes, a découvert cette "billion-dollar opportunity" : rendre les paiements de droits d'auteur aussi transparents que les versements de salaires !

Et les résultats de Crealo sont assez impressionnants :

💰 Levée de fonds de 1,42 millions de dollars auprès d'investisseurs européens et africains (Kima Ventures, Evolem, Super Capital, CDG Invest ...)

🔝 A travaillé avec des clients de renom comme le Palais de Tokyo, Beaux Arts Magazine, ou l'Equipe

👥 100 clients et plus de 20 000 artistes sur la plateforme Crealo en Europe

Après l'annonce de la levée de fonds, je lui a envoyé un MP et nous avons pris le temps de discuter de Crealo et de plonger dans le monde de la gestion des royalties.

Voici un aperçu de ce dont nous avons discuté avec Mohammed :

🔄 La dynamique du marché de la gestion des royalties

🤖 Le potentiel de l'IA dans la gestion des droits d'auteur

💼 Comment les sociétés de divertissement gèrent-elles les droits d’auteur aujourd'hui ?

💡 Pourquoi notre mission principale peut-elle aider les artistes à avoir une vie meilleure ?

🌍 La musique africaine

... Et bien plus encore ! 😉

Merci beaucoup Mohamed pour cette discussion perspicace sur les royalties 💶

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EN

Some artists know how much money they make only once a year 🤯 and it quite common in the industry! Why? Storytime 👇🏾

Cash is king, but cash flows is treated like a valet!

→ Lot of entertainment organisations manage their artists with old-fashioned infrastructures

→ Artists & content creators don’t receive monthly “pay slips”, even sometimes are frustrated because the paid amounts are not right

→ Artists & content creators face issues for their personal life management (how to buy a car or a house when you receive one yearly copyright statement? 🤔)

So, Mohammed BELGHITI, after working in corporate finance and built a previous venture on artist-powered merchandising, discovered this billion-dollar opportunity: make royalty payments as seamless as salary disbursements for artists, entertainment/art organisations!

And the results of Crealo know are pretty impressive:

💰 Raised $1.42M in Seed funding from European & African investors (Kima Ventures, Evolem, Super Capital, CDG Invest …)

🔝 Worked with renowned clients like Palais de Tokyo, Beaux Arts Magazine, or l'Equipe

👥 Boasts 100 clients and serves 20 000+ artists on the Crealo platform in Europe

After its fundraising announcement, he send him a DM and we took a time to discuss about Crealo and dive into the royalties management

Here’s a snapshot of what we've discussed with Mohammed:

🔄 The dynamics of royalties market

🤖 The potential of IA in royalties management

💼 How entertainment companies manage royalties today?

💡 Why our core mission can help artists have a better life?

🌍 African music

... And much more! 😉

Thanks a lot Mohamed for this insightful discussion about royalties

🇫🇷 FR :

Après avoir créé & vendu une scaleup FoodTech 🍱, il a vu une opportunité dans les vidéos YouTube pour enfants 📺 et a levé plus de $100M+ pour batir une startup qui rivalisera directement avec Disney 🤯 ! Pourquoi, après avoir discuté avec Sixte, cette vision semble-t-elle assez réalisable ? 👇

Lorsque Sixte a lancé Animaj en 2022, il y a pour plusieurs raisons, dont les suivantes :

- La population digital-native a désormais des enfants et a l'habitude de leur partager des vidéos YouTube plutôt que des dessins animés à la télévision

- Les outils de contenu généré par l'IA se généralisent, grâce à l'OpenAI

- L'émergence de formats vidéo verticaux, grâce à TikTok et à la montée en puissance du format "Reels".

Il a vu une opportunité de renforcer les IP digital-native et "TV-native" (ou nous pourrions dire les franchises), et d'en faire des franchises internationales de contenu pour enfants !

18 mois plus tard, Animaj a:

- Acheté sa première IP : Kidibli, une franchise qui génère plus de 6 milliards de vues par an et 38 à 40 millions d'abonnés dans 7 pays

- Possède 3 IP dans son portefeuille et génère 15 milliards de vues par an, avec un objectif de 8 à 12 IP dans son portefeuille.

- A atteint le Top 1 en Europe et le Top 5 dans le monde dans la catégorie enfants sur YouTube.

J'ai donc discuté avec Sixte pendant une heure pour discuter de l'opportunité de YouTube, de la distribution de la propriété intellectuelle par le biais de contenus multi-formats !

Et nous avons parlé de :

→ Pourquoi Sixte a lancé sa nouvelle startup dans l'industrie du contenu vidéo pour enfants

→ Comment Animaj monétise-t-elle ses droits de propriété intellectuelle ?

→ La dynamique du marché du contenu vidéo pour enfants

→ La “Power Law” amplifiée du marché des contenus vidéo pour enfants

→ Comment l'IA aide Animaj à augmenter le taux de production de contenu quotidien de x7

→ Pourquoi le CPM des contenus pour enfants est structurellement plus bas que celui des autres types de vidéos

→ et plus encore ...

Merci beaucoup Sixte pour cette discussion perspicace dans le monde de #YouTube-pour-les-enfants 👾.

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🇬🇧 EN :

After having built & sold a FoodTech scale-up 🍱, he saw an opportunity in YouTube-for-kids videos 📺 and raised $100M+ to build a powerhouse that will directly compete with Disney 🤯! Why after discussing with Sixte, this vision seems pretty achievable? 👇

When Sixte launched Animaj in 2022, there is a such good timing thanks to several reasons, among them:

- Digital-native people have now kids and used to share them YouTube videos instead of TV cartoons

- AI-generative content tools become mainstream, thanks to OpenAI

- A emergence of video vertical formats, thanks to TikTok & ‘Reels’ format uprising

He saw an opportunity to empower digital native and “TV-native” IPs (or we could say franchises), and make them international kid content powerhouses!

18 months later, Animaj has:

- Bought its first IP: Kidibli, a franchise generating 6B+ views each year and 38-40M subscribers across 7 countries

- Owns 3 IP in the portfolio and generate 15B views per year, with a target of 8-12 portfolio IPs

- Reached the Top 1 Europe & Top 5 World in Kid category on YouTube

So, I picked the brain of Sixte during one hour to discuss about the opportunity of YouTube, the IP distribution through multi-format content!

And we’ve talked about:

→ Why Sixte launch his new venture in the kid video content industry

→ How Animaj monetize their IPs?

→ The dynamics of the kid video content market

→ The amplified power law of the kid video content market

→ How the AI helps increase x7 Animaj’s daily content production rate

→ Why the kid content CPM is structurally lower than other video types

→ and more …

Thanks a lot Sixte for this insightful discussion in the world of #YouTube-for-Kids 👾

Un an après avoir rejoint Brut en tant que Data Analyst, il a ensuite mis en place et pris la direction du Creator Program de Brut. en Europe, en Asie et aux États-Unis 😵 ! Qui est cet homme ?

C'est Samuel Morin, Head of Publishers Solutions chez Brut, une scaleup produisant du média digital à axée sur les millenials et la génération Z, ayant levé plus de 160 millions de dollars.

Aujourd'hui, Samuel aide les Creators, les experts sectoriels et les personnalités publiques à développer leur visibilité numérique via les réseaux sociaux !

Lorsque Samuel rejoint Brut en 2020, c'était un timing parfait :

→ De grosses levées de fonds se réalisaient dans le paysage de la Creator Economy.

→ Les médias technologiques ont commencé à s'intéresser à l'économie des créateurs (The Information, Business Insider ...)

→ Brut possédait une stack technique efficace pour les super créateurs.

Brut a donc testé l'opportunité de lancer un Creator Program en interne, et Samuel a pris la tête du POC :

À l'apogée du programme pour les créateurs, il y avait :

→ 28 personnes dans l'équipe

→ répartis sur 3 continents (Europe, Asie, Amérique du Nord)

→ gérant 50 créateurs dans le portefeuille

Cependant le Creator Program a pivoté, et maintenant Samuel travaille sur la "créatorisation" des experts sectoriels et des personnalités publiques !

C'est pour tout cela que j'ai discuté avec lui sur Planet Creators.

Et nous en avons parlé:

→ Du modèle économique du Creator Program de Brut.

→ De la syndication de la création de contenu

→ Pourquoi la percée sur le marché indien est une opportunité importante mais difficile à saisir

→ Comment les données ont joué un rôle clé dans les performances du Creator Program

→ Comment le Creator Program a évolué vers un modèle plus durable

→ ...

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