Charles Boivin possède la brasserie Arvida, lieu de rencontre de plusieurs générations d’ouvriers de l’Alcan situé dans le carré Davis, le centre-ville de la cité de l’aluminium. Cet arvidien d’adoption est un mordu d’Arvida. À son échelle de citoyen, il fait son maximum pour préserver la mémoire de la ville en documentant et en collectionnant tout type d’artefacts qui l'évoquent. Son plus grand rêve : qu’Arvida soit reconnue par l’UNESCO.

L’historien Alex Hubert revient sur le passé de « ville sèche » d’Arvida. Jusqu’en 1961, l’alcool y était interdit et Alex raconte comment il se buvait sous le manteau.

Arvida mon amour est une production de Balado Boréal pour le Centre d’histoire Arvida et la Ville de Saguenay.

Animation : Mathieu Beauregard

Recherche et scénarisation : Geneviève Bélanger Genest , Sylvie Poisson, Alex Hubert et Carl Gaudreault

Réalisation : Carl Gaudreault

Direction de projet : Alex Hubert et Marianne Salesse-Côté

Coordonnatrice de  production : Sylvie Poisson

Prise de son et montage sonore : Charles-Maxime Lemay

Mise en ligne et découvrabilité : Loïc Leroux-Gaullier

Conception musicale : Saga stratégie sonore

Conception visuelle : Maud Wallerich

Archives sonores : Balado Boréal

Merci à Stéphanie Gagné et Les films de la Baie

Production et réalisation : Carl Gaudreault

Balado réalisé grâce au soutien financier d’Hydro-Québec dans le cadre du programme de mise en valeur intégrée du projet Micoua-Saguenay.