Sophia Amoruso est née en 1984 à San Diego. Elle n'était pas forte en maths.

Elle n'a pas fréquenté les prestigieuses universités dont sont issus la plupart des patrons de la Silicon Valley. Pour tout vous dire, Sophia était même un cancre, plutôt porté sur les fêtes et les copains que sur les études dont elle décroche à dix-sept ans. Mais, après un petit boulot mortifère et quelques déboires avec la police, Sophia décide de mettre a profit son passe-temps favori : dénicher des vêtements vintage dont elle habille ses copines pour en « faire des looks » postés sur les réseaux sociaux.

Les commandes pleuvent. 5 ans plus tard, Sophia n'a que vingt-deux ans et toujours aucun diplôme lorsqu'elle lance Nasty Gal, une e-boutique de vêtements vintage. 

Véritable visionnaire de la vente en ligne, elle est en passe de devenir une icône culturelle, qui, partie de rien, est parvenue à fonder un empire. 

Dans la le livre « GirlBoss », elle révèle la manière dont elle s'est imposée en tant que femme d'affaires et distille de précieux conseils à toutes celles qui souhaitent prendre leur vie en main et Netflix produira par la suite une série dédiée a son destin de Girlboss appellée tout simplement… girlboss.

Sophia génère 74 millions d'euros de revenus sur son propre site de vente en ligne. Ou comment une adolescente rebelle est devenue une femme d'affaires de trente ans à la tête d'une entreprise de plus de quatre cents personnes. Aujourd’hui nastygal n’a plus rien avoir avec la choucroute mais Bref, le vintage a bel et bien la côte

Mais cette fascination n'est pas qu'esthétique ou simplement nostalgique. Elle cache une philosophie de vie guidée par le désir de sortir de la frénésie contemporaine, de consommer moins et mieux, et de contribuer ainsi à respecter la planète. Loin d'être réactionnaire, ce mouvement dessine une manière joyeuse et hédoniste de s'engager. Et, pourquoi pas, de changer le monde.

En pleine Crise du Covid, Clara décide, elle, d’ouvrir Relique. Un shop vintage aux folles allures avec de la moumoute qui sent bon les années 70 et la guitare électrique.

Elle ne le sait pas encore au moment ou elle ouvre sa chaine YouTube, mais elle est la Queen de la fripe et de l’upcycling. Et en vivant son rêve elle a ouvert son royaume aux autres.

Il n’aura fallut que 2-3 ans a Clara pour devenir l’icône de ceux qui ont envie de se vêtir de nostalgie. Aujourd’huid’hui j’ai décidé de vous parler de Clara Victorya. 

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A très vite pour de nouvelles histoires. Incroyables.

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Les liens de Clara:

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Youtube : https://www.youtube.com/c/ClaraVictorya/videos

Et Relique, sa boutique : 25 RUE NOTRE DAME DE NAZARETH 75003 PARIS

Cet épisode a été enregistré le jour où je suis restée dans une voiture pendant toute une journée avec la marque Tier. La première entreprise de micro-mobilité à être totalement neutre sur le plan climatique. Lors de la campagne "It's Time to beat Traffic for good"

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