• Happy Days : le podcast des années 60 et 70

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Happy Days : le podcast des années 60 et 70

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  • Happy Days, le podcast 100% années 60 et 70, vous replonge dans les souvenirs marquants de cette époque iconique ! Chaque jour de la semaine, redécouvrez des histoires fascinantes de vos idoles et de ces années d'or : de la folie yéyé aux légendes de la chanson française et internationale comme Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Jacques Brel, Daniel Balavoine, les Beatles, les Rolling Stones, les Kinks, Françoise Hardy, Dutronc, Annie Cordy, les Shadows, Ray Charles, Dave, Sheila, Alain Delon, Nicoletta, Michèle Torr, et bien d'autres. Ce podcast explore le rock and roll, le twist, le punk, le disco, le funk, ainsi que les concerts mythiques, le cinéma et les séries TV cultes de l’époque, la télévision, sans oublier les découvertes scientifiques et les actualités marquantes en Belgique. Raconté comme un album souvenir des jours heureux, chaque épisode de Happy Days vous invite à revivre des moments positifs et joyeux, pour un voyage nostalgique unique au cœur des playlists des années 60 et 70, de 1960 à 1980.
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Episodios
  • Les Choses de la vie : un chef-d'œuvre de Claude Sautet avec Romy Schneider et Michel Piccoli
    Nov 13 2024
    Nous sommes le 13 mars 1970. Happy day pour Claude Sautet. Il porte à l'écran un roman de Paul Guimard publié en 1967, Les Choses de la vie.

    Le film est une coproduction entre la France, l'Italie et la Suisse.

    Deux ans plus tôt, Sautet reçoit, des mains de Jean-Loup Dabadie, un scénario adapté du roman. Il y voit enfin, dit-il, l'occasion de pouvoir traiter des problèmes de couple et surtout un accident de voiture à peu près impossible à faire.

    Sautet estime que beaucoup de cinéastes ont renoncé avant lui (Claude Chabrol ou encore Alain Cavalier).

    En 1968, le contrat indique les noms d'Yves Montand et d'Annie Girardot. Claude Sautet n'en veut pas. Il pense immédiatement à Michel Piccoli. C'est lui qui va incarner Pierre.

    Pierre, architecte d'une quarantaine d'années, est victime d'un accident de voiture. Éjecté du véhicule, il gît inconscient sur l'herbe, au bord de la route.

    Entre la vie et la mort, Pierre revoit les moments clés de son existence. Le film explore avec finesse et émotion les méandres de la vie, de l'amour et du destin.

    Ses souvenirs le ramènent, d'abord, vers Hélène, incarnée par la sublime Romy Schneider, une maîtresse passionnée avec qui il entretient une relation intense, mais complexe.

    Il veut la quitter, mais voilà.... Romy chante si bien l'amour désespéré...

    Il pense aussi à Catherine, son ex-femme interprétée par Lea Massari. Entre regrets et espoirs, Pierre revisite les choix qui ont façonné sa vie.

    La musique, parlons-en, composée par Philippe Sarde. Elle ajoute une dimension profonde et dramatique au film. C'est la première collaboration de Sautet avec Sarde. Il signera ensuite la musique de PRESQUE tous ses films.

    Le film laissera quelques répliques et échanges cultes, comme cet au revoir entre Michel Piccoli et Romy Schneider.

    13 mars 1970. Happy pour Claude Sautet. “Les Choses de la vie” remporteront le Grand Prix du Cinéma Français. Nomination, cette année-là, pour le Prix du Jury au Festival de Cannes.

    "La Chanson d'Hélène", interprétée par Romy Schneider, elle devient le symbole de la complicité entre les personnages. Sautet ne l'aimait pas tellement. Ce sera pourtant un énorme succès... à la radio.
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  • Michèle Torr et le succès intemporel de 'Emmène-moi danser ce soir' en 1978
    Nov 12 2024
    1er juin 1978. Happy Day pour Michèle Torr. La chanteuse va connaître son plus grand succès cet été. Et pour y arriver, elle nous propose de sortir ce soir.

    Elle regarde dans le rétroviseur. Voit-elle cette petite fille du Luberon qui connut, à 14 ans, son premier succès, avec une reprise.

    "Dans mes bras oublie ta peine" est une version française de "Let Me Make You Smile Again" de Ginny Arnell.

    Dans les années 60, Michelle Torr fait comme tout le monde. Elle interprète des chansons traduites en français, principalement américaines.

    Elle va connaître quelques beaux petits succès. Exemple : l'adaptation en français de "Only You (And You Alone)" des Platters.

    D'ailleurs, ce titre, il est très bien, alors Jacques Plante, l'adaptateur, choisit de le garder.

    En 1964, Michelle Torr joue gros. Elle doit assurer son premier Olympia, mais pas encore sous son propre nom.

    Elle se produit en lever de rideau de Claude François. Son succès se confirme. Si bien, que 2 ans plus tard, elle figurera sur la fameuse « photo du siècle » de Jean-Marie Périer, capturée en avril 1966 aux côtés de 45 autres vedettes françaises de l'époque du « yéyé ».

    Quelques mois plus tard, elle représente le Luxembourg au Concours Eurovision de la chanson, avec "Ce soir je t'attendais".

    Cette fois, le moment est venu de proposer non plus des adaptations, mais des titres originaux.

    C'est dans les années 70 que Michèle Torr change (petit à petit) de registre. Le yéyé a bien vécu, elle veut conquérir un nouveau public, au rayon ROMANTIQUE.

    Il faudra un peu de temps pour imposer cette nouvelle Michèle, mais en 1976 un titre se vendra à plus de 150 000 exemplaires.

    "Je m'appelle Michèle" est ce que l'on appelle un VRAI tube. L'année suivante, elle participe une nouvelle fois à l'Eurovision pour représenter Monaco. Elle terminera 4e.

    Quelques mois passent. Puis, on lui propose un titre qui va changer sa vie.

    Le thème de cette chanson, ce sont les difficultés d'un couple après plusieurs années de mariage. Paroles et musique sont signés François Valery. L'amour existe encore. D'ailleurs, ce soir, Michèle a envie de déposer son tablier...

    En ce 1ᵉʳ juin 1978, Michèle Torr vit un happy day. "Emmène-moi danser ce soir" sera la 15e meilleure vente de l'année 1978. Mais surtout, son plus grand succès.

    « Fais-moi la cour comme aux premiers instants.»

    En 3 minutes 10, la petite fille du Sud parle au cœur de toutes les femmes, de toutes les générations.
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    4 m
  • L'Amphicar 770 : l'épopée de la voiture amphibie qui a traversé la Manche
    Nov 11 2024
    Nous sommes le 10 août 1962. Happy Day pour deux Français, Jean Bruel et Tony Andal.

    Ils réalisent un exploit extraordinaire. Traverser la Manche en 5h50 avec une voiture un peu particulière. Oui, une voiture.

    Bienvenue à bord de l’Amphicar 770. Voiture ou bateau, plus besoin de choisir.

    Pour comprendre de quoi on parle, il faut rembobiner un peu. Allons-y.

    L'histoire de la voiture amphibie nous ramène dans les années 30. Un designer allemand, Hans Trippel, nourrit un rêve, celui d'une voiture qui pourrait rouler sur la terre et naviguer sur l'eau.

    Pour y arriver, il prend la base d’une DKW F2. Il ajoute une étanchéité des soubassements et des trains roulants pour créer une alliance entre moteur et hélice.

    La Wehrmacht, l'armée allemande, s'y intéresse de très près. Elle y voit plusieurs débouchés militaires. Eins, zwei, drei, polizei… 1000 unités sortiront des chaînes l'année suivante.

    Le projet renait dans les années 60. Nous sommes à Paris, en bord de Seine.

    Hans Trippel a donc décidé de lancer une voiture amphibie pour le Grand Public. C'est en 1962 que sort officiellement l’Amphicar 770.

    C'est certainement une révolution, mais elle nécessite beaucoup de précautions.

    Pour passer de la terre à l’eau, il faut…

    Verrouiller les poignées supplémentaires des deux portes.

    Retirer le bouchon d’évacuation d’eau.

    Passer au point mort de la boîte de vitesses.

    Et bien sûr lancer les hélices.

    Le processus est tout aussi contraignant une fois sorti de l'eau. Mais peu importe. // Hans Trippel a de TRÈS GRANDES ambitions. Il lance l'Amphicar à la conquête de l'Ouest américain !

    Bon, c'est un fiasco total. Toutes les unités présentées à la presse coulent, parce que le bouchon d’évacuation d’eau n’a pas été enlevé.

    Cela dit, ce qui a raison de l’Amphicar 770, c’est son coût de production. Réalisation à la main, normes de sécurité toujours plus strictes.

    Hans Trippel vendra 3 800 unités de son amphicar, mais il doit se résoudre à cesser sa fabrication, en 1968.

    Ne boudons pas les rêves d’un ingénieur en ce Happy Day du 10 août 1962, l'Amphicar 770 ne sait pas encore que sa vie sera éphémère, mais que les 3 500 exemplaires restants vont s'arracher, six ans plus tard, pour des sommes absolument folles.

    La malheur de Hans Trippel fait le bonheur des collectionneurs. Une véritable leçon de Twist...
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