Je vous retrouve aujourd'hui pour aborder une nouvelle fois un sujet sensible : celui de la dépression anténatale. Si la dépression du post-partum est de plus en plus (bien qu'encore trop peu) connue et surveillée, il n'en est pas tout à fait de même avec la dépression anténatale, pourtant ni anodine ni anecdotique. Je vous partage aujourd'hui l'histoire de Blandine qui a le courage d'en parler et d'expliquer son parcours, surmontant ainsi à la fois les idées reçues qu'une future maman nage forcément dans le bonheur et son syndrome de l'imposteur.

En effet, malgré une grossesse qui se passe très bien sur le papier et sur le plan médical et un premier trimestre tout à fait classique, Blandine se sent peu à peu sombrer. Elle ne se reconnaît plus dans son corps, dans ses émotions, elle se sent perdue. Bien qu'heureusement de préparer l'arrivée de bébé, elle sent qu'un mal la ronge petit à petit, notamment aggravé par une peur terrible de l'accouchement et de "perdre le contrôle". Pourtant elle ne se sent pas légitime de ressentir de telles émotions, parce qu'en soit "tout se passe bien".

Blandine partage avec nous son mal-être, l'importance de l'accompagnement qu'elle a reçu, son accouchement franchement bien vécu malgré la situation et toutes ses craintes, mais aussi sa vigilance en post-partum pour ne pas basculer. Un épisode très important qui pourrait être un véritable soutien pour toutes les mamans qui ressentent les mêmes émotions et n'osent pas forcément en parler : vous n'êtes pas seules et tout peut s'arranger !

J'en profite pour rappeler que si vous ne vous sentez pas bien, si vous sentez que vous avez des pensées sombres, même sans """raison valable""" (je mets ici de gros guillemets) : parlez-en ! C'est non seulement important mais aussi salvateur ! Parlez-en à votre co-parent, votre meilleur(e) ami(e), un collègue, un membre de votre famille, votre sage-femme, votre médecin traitant, un inconnu derrière un numéro d'écoute comme le 3114... peut importe, l'important c'est de vous sentir écoutée et d'aller mieux.

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Rien qu'en lisant le titre de cet épisode... on se dit whaou ! Et pour cause : tout est dit. Je vous retrouver aujourd'hui pour vous partager l'histoire d'Aureianne qui nous raconte son accouchement, qui ne s'est pas du tout passé comme prévu ! En effet, pour la naissance de ses jumeaux, qui étaient restés en position de siège, Aureianne avait fait le choix d'une césarienne programmée, tout était prêt, le planning bouclé... mais c'était sans compté sur une rupture de la poche des eaux en sortant d'un contrôle à l'hôpital.

Alors qu'elle prend son temps, le travail se met doucement en place, lors de son arrivée à la maternité, le col a déjà bien travaillé. Alors qu'elle passe (enfin) en salle de césarienne, les douleurs sont insupportables et finalement le premier bébé est déjà en train de passer la porte de la sortie. Un récit riche en émotions, plein de courage et de détermination. Aureianne nous partage aussi son expérience autour de l'allaitement, pour lequel elle n'a rien lâché, se battant toujours aujourd'hui pour offrir la moindre goutte de lait à ses bébés.

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Je vous retrouve aujourd'hui avec Ingrid qui nous partage son histoire d'accouchement, qu'elle voulait la plus naturelle possible. L'arrivée de son bébé (très) désirée s'est presque passée comme dans ses rêves. Pourquoi presque ? Parce qu'elle rêvait d'un accouchement le plus physio possible (son lieu de vie empêchant un accouchement à domicile), où son conjoint serait impliqué dès la sortie de bébé. Si ces deux points ont bien été respectés, sans grand soucis, elle a cependant été déclenchée et a été accompagnée par une équipe pas très à l'écoute, devant notamment faire tout le travail seule dans sa chambre, persuadée qu'il s'agissait de "fausses contractions". Elle a également du vivre une révision utérine sans péridurale du coup, un acte peut agréable bien que nécessaire.

Malgré tout, Ingrid garde un très bon souvenir de ce moment, presque non évènement puisque sans péridurale ni aucune forme d'anesthésie, elle a récupéré ultra rapidement : fraiche et pimpante 3h après avoir donné la vie à sa princesse.

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Découvrez aujourd'hui le récit de Romane, qui nous raconte son accouchement tout en douceur et en délicatesse. Elle revient sur sa grossesse et sa décision rapidement prise de ne pas accoucher sous péridurale. Son arrivée dans le sud et la découverte dans une maternité très nature qui lui parle rapidement de la salle nature, qui convient parfaitement à son désir de donner la vie de manière physiologique, avec un accès à une baignoire.

Romane nous raconte son accouchement, non sans douleur, mais avec beaucoup d'amour. Une expérience qu'elle a vécu avec sa maman, et qu'elle serait prête à renouveler dans un avenir plus ou moins proche tant elle en garde, avec du recul, de bons souvenirs.

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Découvrez aujourd'hui l'expérience de Léna qui nous partage en toute sincérité son accouchement, ses émotions et ses ressentis. Elle nous parle de son projet d'accouchement physiologique, avec le moins d'intervention possible, qui n'a même pas été consulté par l'équipe médicale du jour. A quel point elle ne s'est pas sentie écoutée et entendue alors qu'elle découvrait tout des sensations ressenties lors d'un premier accouchement. Un peu d'accompagnement lui aurait notamment évité de craquer pour une péridurale en pleine phase de désespérance.

Si au final, elle ne regrette rien de son accouchement, qui s'est globalement bien passé, un léger goût amer lui reste toujours. Un sentiment d'infantilisation voir de déingrement sur ses capacités à pousser, une dose de péridurale et d'ocytocine administrées malgré son refus, autant de petites touches qui ont contribué à rendre l'expérience de Léna bien moins agréable et magique qu'elle n'aurait du l'être.

Léna se livre également sur le post partum, l'importance de déléguer et de demander de l'aide en cas de besoin, et à quel point cela peut soulager la santé mentale des mères.

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Retrouvez aujourd'hui Coralie qui nous partage ses expériences d'accouchement, avec beaucoup de franchise et d'émotions. Elle revient sur son parcours d'un accouchement médicalisé, sous péridurale par "normalité" mais dont elle garde un excellent souvenir. Pour son second accouchement, l'idée de l'accouchement à domicile l'effleure sans pour autant s'y arrêter et c'est un second accouchement médicalisé qu'elle vivra sans mal le vivre du tout, bien au contraire, complètement éblouie par la perspective de donner la vie.

Pour son troisième enfant, qui arrive un peu plus tard en raison de changements professionnels, cette fois-ci c'est décidé : ce sera à la maison ! Elle se fait donc accompagner par une merveilleuse sage-femme et réalise son rêve en donnant la vie à son petit bonhomme dans le confort de sa maison, avec ses affaires et dans l'eau ! Cécile nous raconte cette expérience qui fait rêver, sans filtre.

Un épisode à écouter sans modération ! Envie d'en discuter ou de participer à ton tour ? Rendez-vous sur Instagram @balance_ton_accouchement ou sur https://balance-ton-accouchement.fr/participer-podcast/

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Je vous propose aujourd'hui de découvrir l'histoire d'Ophélie, qui a vécu de multiples expériences de grossesses. Alors qu'elle a été enceinte 4 fois, elle n'est finalement la maman que d'un seul enfant puisqu'elle a vécu 3 arrêts naturels de grossesse. Pourtant sa quatrième grossesse, bien stressante, n'a pas été aussi paisible qu'on aurait pu lui souhaité après avoir vécu de telles épreuves puisqu'à 26 SA on lui parle déjà de pré-éclampsie et d'un grand besoin d'attention.

Finalement, petit miracle, ce n'est qu'à 39SA que le déclenchement de l'accouchement est mis en place. Un déclenchement médicamenteux très long, qui durera plusieurs jours, nécessitant la mise en place de nombreuses techniques de déclenchement et mettant fin un peu brutalement à un projet d'accouchement physiologique. Finalement c'est bien par voie basse que naîtra le petit champion mais avec des petites incohérences cardiaques qui le mènent à un petit passage en néonatologie, créant une nouvelle épreuve tant pour lui que ses tout nouveaux parents.

Ophélie nous partage son histoire et ses ressentis sans filtre mais avec beaucoup d'amour pour ce petit bonhomme. Un récit à découvrir absolument.

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Découvrez aujourd'hui le récit de Zahra qui nous partage sans filtre son récit d'accouchement, par voie haute, alors que ça n'était pas du tout prévu. Zahra revient sur sa grossesse, qui suit de quelques mois une fausse couche (qui n'est pas anodine), loin d'être idyllique sans pour autant être "dangereuse". Alors qu'elle attend la date de son terme, elle prend la décision éclairée par les avis médicaux de déclencher l'accouchement car bébé est annoncé avec un poids assez élevé. Mais alors que tout semble bien se dérouler, finalement le travail n'avance pas, le corps se met en pause au moment de la péridurale et plus rien ne bouge.

Ce schéma conduit à l'intervention du gynécologue, partant sans grande urgence vers la césarienne. Si tout se passe bien sur le plan médical, cette césarienne (justifiée par un cordon enroulé autour du coup de bébé) est un véritable échec pour la maman qui le vit d'avantage comme une opération et non comme un accouchement. Zahra nous raconte ses émotions, ses ressentis, ses sentiments autour de cette césarienne, avec des mots durs pour elle-même mais autentiques et qui traduisent la réalité de ce qu'elle ressent au fond d'elle.

Un récit à découvrir, à écouter dans la plus grande bienveillance parce que je suis certaine que Zahra n'est pas la seule à ressentir ses émotions, et n'est-ce pas déjà une bonne nouvelle que de se rappeler qu'on ne partage pas ces épreuves seules ?

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