• Demain c'est Dimanche #4 // Espoir !
    Apr 27 2022

    Et voilà que cela recommence.

    Voilà 2 semaines que je tourne en rond sur un texte qui puisse inspirer l’espoir, un truc qui donne envie de vivre à fond.

    Quelque chose qui sonne comme une bonne nouvelle, comme tiens le cannabis est légalisé, ahh Sarkozy part en prison rejoindre Benalla…

    Non, la nouvelle c’est le couvre feu !


    Impossible de sortir de la colère, de la haine, de l’incompréhension et surtout de l’incapacité à se projeter.

    No future bro ! Tout le monde devient fou et on ne peut rien y faire. Impuissance, enfance.


    Heureusement il existe encore des endroits et des gens libres.

    Il existe encore un espoir, des espoirs. Dans les grandes villes, en Europe. Nous sommes peu nombreux et de moins en moins à connaître la définition de la liberté, à expérimenter la liberté de penser et de mouvement, mais nous sommes encore en vie et il ne faut surtout pas l’oublier.

    Nombreux sont encore ceux bien décidés à faire perdurer cette notion clef toute relative: la liberté.


    Au point 2 de la déclaration des droits de l’homme et c’est rassurant j’ai trouvé un point déterminant. Il invite à se rebeller contre l’oppression. Fondamentalement nos anciens, ont pensé à nous, et aux futures phases autoritaires où l’état à tous les droits.


    Sachez donc que nous avons le droit d’aller contre la loi si nous nous estimons oppressé. C’est vital et légal, alors ne vous laissez pas enfermer, grâce aux luttes précédentes nous avons des droits: la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. Il y a de l’espoir et quand il y a de l’espoir…


    Définition de l’espoir: disposition de l’esprit humain qui consiste en l’attente d’un futur bon ou meilleur. Au pied de la lettre, je dis oui. J’en veux, j’en ai besoin. Alors, j’ai tout fait pour passer un week-end en plein espoir.

    Entouré de gens toujours disponible à l’inattendu, à prendre des risques pour avoir l’impression d’exister. Ils sont devenus mon espérance: attente confiante de voir se réaliser ce que je désire.


    Dès le départ, mon désir, mon besoin était de danser le plus possible pendant 2 jours. C’est vrai et cela fait mal, je souffre de ne plus pouvoir me rendre dans mon club de danse préféré: le petit palace, je souffre ne plus pouvoir me rendre dans mon club de sport préféré le club med gym. Mon corps le réclame, je l’ai habitué à se bouger plusieurs fois par semaine. J’ai habitué mon cerveau à respirer aussi la nuit, à prendre de la distance, comme dans un rêve en réalité. Sans limite, morale, physique ou principe. J’aime a être surréaliste dans le noir, en musique.


    Bref, ce week-end avant le second grand rien, je me devais de danser et j’en ai eu l’occasion.

    Plein d’espoir, j’ai suivi une bande de jeunes gens dans une ferme pour 2 jours de fêtes non-stop. Techno, boule à facette, bar, déguisements, dance-floor, djs, bières, alcools forts, led, dope, bonne bouffe, soleil, feu de joie… la panoplie totale, la rave quoi !

    48 heures de dérives en tout genre. 48h à se parler si proche que j’avais oublié ce que cela faisait. Des postillons, des onomatopées comme des souffles et des mains au visage, la vraie vie comme avant. Un univers sans doute, proche, sensible… ouverts les uns aux autres, confiants.


    En adultes fêtards libres, nous avons tous passé un test de dépistage de la Covid. Les personnes positives étaient invitées à ne pas nous rejoindre. Sans peur donc, nous avons mis en place l’espace pour n’être qu’amour, feuilles au vent, Feux Follets, corps aimants, bouches, yeux, bras, cuisses, pieds, bouches encore, humains, enfants adultes libérés enfin. Tous agités par notre désir de liberté, tous conscients au moins un instant que nous sommes un moment rare de lâché prise.


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    6 mins
  • Demain c'est Dimanche #3 // La Police se prend au sérieux et c'est dangereux!
    Apr 27 2022

    La police se prends au sérieux et c’est dangereux.


    Vendredi soir, rue du faubourg Saint-Denis, il est 21h30.

    En temps normal, je veux dire hors crise sanitaire sa mère, c’est là qu’il fait bon commencer sa soirée au hasard, piéton, tête en l’air, pieds bien chaussés.


    Hors aujourd’hui sages, tous les parisiens que je croisent portent le masque, sur la bouche ou sous le menton. Ils sont rares ceux qui n’en n’ont pas. Et croyez moi ce sont les intouchables, les noirs, les pauvres, les basanés, les gueules cassés, les mecs en deux au sol, pas les gens bien habillés. servitude volontaire.


    Depuis le début de cette histoire de virus qui tue à 95% les vieux, j’ai trouvé une routine où le masque n’est pas obligatoire pour moi. Mon bureau est à 450 mètres et un restaurant excellent se trouve juste en face. je travaille seul, je n’ai que des rendez-vous avec des gens de moins de 65 ans ou très en forme, et surtout je fais du vélo. Mon buraliste, tout comme ma boulangère sont barricadés derrière du plexiglas et porte un masque, ils savent que moi non et ne disent rien, au contraire ils me sourient.


    Quand je me retrouve contraint de marcher, j’ai mes trucs et astuces pour ne pas être masqué: Première option, j’ai une clope dans la main gauche et les doigts à droite sur mon briquet logé dans sa poche dédiée. Option 2: J’ai une baguette, que je grignote très lentement. Option 3: je pousse mon vélo. Certes ce sont des situations stressantes car la peur du flic zélé n’est pas loin.


    Sur mon vélo, je divague et soudain, la voiture devant qui n’est autre qu’une voiture de police tourne à droite sèchement sans clignotant. D’un geste souple j’évite la tonne 5 Mégane. Surpris toujours à la droite du véhicule je fais un signe de la main que le clignotant n’est pas activé.


    Hors le changement de direction sans mettre le clignotant est verbalisé par une amende de seconde classe. Même si elle ne représente qu’une contravention modérée comparée à d’autres infractions, le manque de signalisation est dangereux et peut provoquer de nombreux dégâts humains ou matériels d’où une réduction de trois points sur son permis à points. 35 euros d’amende en somme.


    Je bifurque et me retrouve de l’autre côté du véhicule des fins limiers. Regard à droite le machin qui conduit porte une belle barbe, il est presque beau lui-même avec ses gros bras, rien ne me vient, je reste silencieux en le contemplant. Lui, lève la main et aboie:” qu’est ce que t’as toi!”. Le mec est chaud, je ne dis rien et continue mon chemin vers mon officine. Décharge d’adrénaline, je bouillonne: “merde, j’aurai du lui dire un truc, euh, un truc sale et partir vite, mais non.” Je suis encore imprimé de mon expérience de confinement. Ce moment où ils ont tous basculés en vrai.


    Ce moment où la street était totalement sous contrôle policier. Ce moment où personne ne savait vraiment ce qu’il se passait avec le virus, où il n’y avait pas assez de masques pour tout le monde, où nous devions signer un papier avant de sortir de chez nous. Où nous avions tous peur car la mort était partout dixit les médias. Je suis resté à Paris avec femme et enfant pendant le grand rien.


    La première fois que je me suis fais arrêté c’était par des CRS. La consigne c’était: sortez de chez vous le moins possible, si vous sortez c’est pour acheter de quoi vous nourrir, faire de l’exercice ou que vraiment vous n’aviez pas le choix. Je n’ai suivi ces règles que 10 jours. Ensuite, nous sommes sortis plusieurs fois par jour, pour tout pour rien, personne dans la rue. J’avais compris que je devais être à distance des gens, et que je devais me laver les mains en rentrant chez moi. C’est déjà pas mal.


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    12 mins
  • Demain c'est Dimanche #2 // Les Adultes c’est nous ! #OKBOOMER
    Apr 27 2022

    Je me souviens, nous sommes en 2011, nous sommes à Tunis à une terrasse de café. Une pote vient de me laisser seul avec un vieux monsieur. La révolution est passée par là, le calme est revenu il y a quelques jours. L’air est électrique, les gens sourient tout le temps. Le serveur nous apporte un café. Je me sens hyper seul. Heureusement le sage lance la conversation  :

    «  Tu sais les gens de ma génération, nous avons eu l’occasion à plusieurs reprises de prendre la parole, de nous opposer à la dictature. Mais nous ne l’avons pas fait. Maintenant, je pense qu’après cette révolution menée par les jeunes, notre génération doit se taire, faire confiance et laisser faire. Nous n’avons rien fait pour empêcher quoique ce soit  !  »


    Voilà la solution pour notre ère, je pense tout à fait multiscalaire.Pour sortir de l’anthropocène, il faut dégager les vieux de la scène. Car les adultes c’est nous  ! Laissons les grabataires naturellement se taire et sauvons la terre.


    Mon déclic écologique, anti-capitalisme, anti-communisme, anti-nihilisme, anti-issisme, je l’ai eu en 2004. Lectures, rencontres, soudain, j’ai compris que tout aller de travers. Alors à fond de showbiz à l’époque, j’ai eu du mal. Comment encore bien servir la machine spectaculaire persuadé qu’elle ne vendait que du vide aux cerveaux encore disponibles.

    Aujourd’hui enfin, je m’en sens capable, 16 ans plus tard. Entre temps j’ai continué à m’informer, à lire, à écrire… et surtout à nourrir la bête. Il aura fallu que je devienne père, que je sorte de l’effroi, du déni, de la peur, pour embrasser le courage de continuer en décidant de ne plus travailler plus pour les industriels sans vergognes. 16 ans pour me incarner que oui il y avait un nouveau monde à faire naître et que pour ce faire, il fallait s’extraire de ce qui nous tue.En disant ces mots, un flashback me revient.


    Rave on  ! J’ai 16 ans et je suis en teuf, en rave dans une clairière. Un extasie en tête, je comprends que je serai le premier sur ma route et que je marcherai sans repère. Heureux, léger, inspiré comme jamais par ce qui vient, ce beat qui va conquérir la planète, les rues des mégapoles du monde entier. La danse libre, surfer le chant des machines, jouir dans la technologie. Métamorphose. À partir de maintenant c’est Rave Always.


    Cette génération qui en se renseignant un peu sur le sujet est la génération la plus destructrice pour notre monde. C’est elle la responsable du feu dans notre maison. Exposant ces positions, souvent mes amis m’ont reproché de ne pas avoir terminé ma crise d’adolescence, je devais arrêter de vouloir tuer le père. Le mien est mort, il y a plus de 10 ans maintenant.

    Toutefois en famille souvent s’est posé le soucis de devoir débattre avec les babyboomers présents. Affecté par le cadre familial, toujours les conversations, les débat se sont terminés en guerre rangée entre nous les jeunes et eux les vieux. La discussion est rompue à jamais, urgence au corps et peur à cœur, la raison vacille.

    J’ai alors développé une nouvelle technique qui consiste à ne plus parler aux vieux, de politique, de l’avenir du monde.mais d”échanger avec ceux de mon âge, adultes, angoissés à mort comme moi par la situation à venir, mais en clin à croire eux aussi que les solutions pour changer en mieux sont infinies et à porter de main. L’effet est direct, le vieux se sentant mis de côté se rebellent, s’agitent, parlent fort et au mieux quitte la pièce avec ou sans fracas.

    Il ne doit pas et Il ne peut y avoir de guerre de génération. Car Cette génération doit se taire, s’éteindre… sans mourrir forcément. Et si elle en est encore capable d’apprendre ce que nous avons appris sans eux, notre culture urbaine, notre éveil technologique et écologique, qu’elle pose des questions, plutôt que de toujours phallocratiquement nous imposer ses visions surannées. Alors nous pourrons encore partager des espaces communs, nous projeter et vivre ensemble.


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    8 mins
  • Demain c'est Dimanche #1 // Retrouver mon GSM
    Apr 27 2022

    Pour reprendre le goût de l'écriture et de la performance du direct, je me lance le défi de rédiger, d'enregistrer, de produire, et de mettre en ligne un édito radio en 8 heures. Soit le travail est terminé en fin de journée, soit je le jette.


    Texte du module:


    Réveil lourd, le corps, l'esprit encore endormi, je me jette hors de l'étuve. J'ai sué encore cette nuit, j'ai rêvé fort, complexe, tendu, palpitant et puis plus rien. Le matin enfin. Impossible de reconstituer le puzzle, cette nuit ne m'apprendra rien, en tout cas pas aujourd'hui. Je m'extirpe, je me tire du facile, du chaud, du doux doudou, encore, allez ! Ne pas retomber, considérer ce qui vient comme attractif, désirable, Se convaincre, argumenter au fond de soi et au dessus de mon épaule combattre ces voix qui demandent toujours plus de repos de rien. Éloge de la fuite, comme pour entrevoir un peu plus de ce qui pourrait advenir. Dormir plus en boule de cristal, limpide, encore, encore, vivre les yeux fermés. Mais non ce matin, j'ai décidé de me lever sans discuter, sans perdre ce temps, sans prendre ce temps avec ce moi encore endolori, blessé car incapable de se projeter. Chaud du reveil. Chaud de la vie, chaud du rêve diurne. Les volets, les rideaux, la couette, tout est ouvert et fumant. Une brise sèche parcours la pièce. Je suis debout. Muscles à l'arrêt mais tendu, tenant bon. Un pas devant l'autre, la journée peut commencer. Un œil sur le miroir, retrouver la flamme, face à face : sourire en coin. Confiance, Avancer. Mais Au fond, au tréfonds comme un boomerang lancé par un kangourou australien, une question : En es-tu capable ?


    Depuis une semaine, mon écran de téléphone n'est plus tactile et mon smartphone est redevenu un stupide GSM, alors plein de manque, je repense à eux, à vous les friends. La vraie ressource est là !Plutôt que de vous voir ou de vous écouter ou de vous lire, j'ai envie de vous toucher, de croiser vos regards pleins de vie, d'envie, de vive voix. Jamais je n'aurai cru vouloir faire marche arrière, jamais. Né mercenaire, j'ai toujours désiré plus de progrès. Toujours la technologie sera mon ami, mon aide, mon précieux avantage, elle va nous améliorer, nous sauver ! Longtemps ais-je pensé cela très fort, par principe, éducation, propagande, facilité. Critique et lucide ce matin, toujours ne veut plus rien dire. Jamais non plus. Je dois inventer entre les pôles, continuer à croître, néguentropique. L’œil libre en ville, je suis rapidement attristé par les regards fuyants, vides, apeurés que je peux croiser. Les humains ne vont pas bien, automatisés.

    Je ne me sens pas mal pour autant, prototype déconnecté, je sens que je me dois de prêcher le retour à la disponibilité. Stimulus Stimulus, pourquoi faire si ça ne fait plus bander ? Je veux Avoir du temps. Respirer. Apprécier, réfléchir, écrire, fabriquer...ne plus être pressé. Je sais que tu sais que je sais que tu sais que je sais. Alors pourquoi ne lèves tu pas les yeux vers moi. Virevolte, Eyecontact en guise de présent, un sourire serait l'apothéose, je cherche perçant, presque impatient. C'est ma première sortie fragile, non augmentée, sans haute technologie embarquée. Perdu souvent je parle aux gens, demande, faible, en quête d'une direction. Je veux Faire confiance à une main tendue que cela soit vers l'est ou l'ouest.

    Un instant je plonge en moi constatant de la réforme opérer. Européen centré, terrien humain concerné, plié puis soudain déployer comme ensoleillé. Je suis debout, j'ai conscience que mon cerveau est débranché, je sens que je suis libre. Noéthique, inspiré. De penser, de me déplacer, de formuler.

    Combien sommes nous ? Combien sont-ils ? Suis je en train de rêver ?


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    3 mins
  • RADIO BELLE #1 : ENTRE-SOI ÉGALITAIRE
    Mar 23 2022

    L'article, la playlist et la transcription sont: https://toutvabiensepasser.com/productions/lexavierdeyoutube/radio-belle-1-entre-soi-egalitaire ==> ICI 


    SOMMAIRE:

    LE SOMMAIRE DE BRUNO

    L'ÉDITO DE CAMILLE: LE RENOUVEAU

    EXPERTE ÉGALITÉ FEMME.HOMME : NIRINA METZ

    #CYCLOVORTEX : L'HARMONIE DES FORMES

    LA MAXIME DE CAPUCINE : "LA JOIE EST DANS TOUT CE QUI NOUS ENTOURE IL SUFFIT DE SAVOIR L'EXTRAIRE"

    XAVIER & CAMILLE: TEST ET MISE EN BOUCHE

    #JESUISBELLE : SINCÉRITÉ

    #LEMOTCLEFCLEF : NON-BINARITÉ

    INVITÉ PARIS / NOUVEAU MONDE : NIRINA METZ

    INVITÉ PARIS / PORTRAIT : NIRINA METZ

    #LABELLETABLE : BISTRO LA BICYLETTE / 5 RUE DE CHAUMONT 19ème

    #LALIMERENCE : LE CAPITALISME DES LUTTES 

    #LEPOINTJ : LA PENSÉE DÉCATÉGORISÉE

    S.O.S AMITIÉ : GUSTAVO BRANDO FROM SAO PAULO

    #INTRAINSPECTION : DÉPART ET DES DOUTES

    LA CONVERSATION LOIN DE TOUT : BESOIN DE SE RETROUVER CHEZ SOI

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    2 hrs and 58 mins
  • RADIO BELLE #2 : PRENDRE LE TEMPS ENSEMBLE
    Mar 22 2022

    Retrouvez notre émission RADIO BELLE #2 du 15 mars 2022, le séquençage du contenu audio et écrit, les photos, les transcriptions, les vidéos, les liens, les références et les infos pratiques == > ICI 


    SOMMAIRE

    • #FALTOMATIQUE : INTRANSIGEANT, CONCENTRÉ AU FIRMAMENT

    • LE SOMMAIRE DE BRUNO

    • L’ÉDITO DE CAMILLE : QUEL EST LE RÔLE DE L’ARTISTE EN TEMPS DE GUERRE ?

    • #CYCLOVORTEX : COLÈRE EXPRIMÉE

    • FALTOT PERSO : SYLVIE ET SA RECONVERSION PROFESSIONNELLE

    • #LEMOTCLEFCLEF : WOKE

    • #JESUISBELLE : PREMIER SOUVENIR

    • LA MAXIME DE CAPUCINE : “LE PLAISIR SE RAMASSE, LA JOIE SE CUEILLE, LE BONHEUR SE CULTIVE”

    • LES TRUCS À FAIRE À PARIS

    • MIDI OU PRESQUE : RESTAURANT LE VALMY / 145 QUAI DE VALMY 10ÈME

    • #LALIMERENCE #2 : DÉDRAMATISER LA NOTION DE PRIVILÈGE ENSEMBLE

    • #INTRAINSPECTION : SE SENTIR MIEUX

    • INVITÉ PARIS : JOSÉPHINE DOMINGUES

    • INVITÉ PARIS / PORTRAIT : JOSÉPHINE DOMINGUES

    • SOS AMITIÉ : NATH TALBOT AKA TUNA FROM MELBOURNE

    • #LEPOINTJ #2 : LES PERFORMANCES DE TRISHA BROWN

    #FALTOMATIQUE : INTRANSIGEANT, CONCENTRÉ AU FIRMAMENT

    L’ÉDITO DE CAMILLE : QUEL EST LE RÔLE DE L’ARTISTE EN TEMPS DE GUERRE ?

    #CYCLOVORTEX : COLÈRE EXPRIMÉE

    INVITÉ : SYLVIE ET SA RECONVERSION PROFESSIONNELLE

    #LEMOTCLEFCLEF : WOKE

    #JESUISBELLE : PREMIER SOUVENIR

    LA MAXIME DE CAPUCINE :

    Le plaisir se ramasse, la joie se cueille, le bonheur se cultive”

    @labullezen_

    LES TRUCS À FAIRE À PARIS :

    RÉFÉRENCES :

    • Exposition Pavillon Vendôme à Mairie de Clichy (ligne 13) sur le thème des Frontières. Borderline est accessible en entrée libre à partir de 9h00 jusqu’au 30 avril 2022 au 2 rue Guichet.

    • Poush manifesto, Boulevard Général Leclerc, mercredi 9 mars 2022 à 18h30

    • Pièce de théâtre “Henri IV” au théâtre du Bélier à Jules Jauffrin tous les lundis à 21h00.

    MIDI OU PRESQUE : RESTAURANT LE VALMY / 145 QUAI DE VALMY 10ÈME

    #LALIMERENCE #2 :

    #L’INTRAINSPECTION : SE SENTIR MIEUX

    INVITÉ PARIS : JOSÉPHINE DOMINGUES

    INVITÉ / PORTRAIT : JOSÉPHINE DOMINGUES

    SOS AMITIÉ : NATH TALBOT AKA TUNA FROM MELBOURNE

    #LEPOINTJ #2 : LES PERFORMANCES DE TRISHA BROWN


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    3 hrs and 1 min
  • RADIO BELLE #3 : LA CONFIANCE RÈGNE
    Mar 15 2022

    Retrouvez notre émission RADIO BELLE #3 du 22 mars 2022, le séquençage du contenu audio et écrit, les photos, les vidéos, la transcription, les liens, les références et les infos pratiques ==> ICI 


    SOMMAIRE :

    • #FALTOMATIQUE : LES IMAGES SE DISSIPENT

    • TEXT TO SOMMAIRE BY ALICE

    • #SMOOTHIE BY CAMILLE

    • #LAMAXIMEDECAPUCINE : “N’OUBLIEZ JAMAIS QUE LE BIEN TRIOMPHE TOUJOURS, LE MAL SE DÉTRUIT TOUT SEUL”

    • ÉDITO DE CAMILLE : VORTEX SPATIO-TEMPOREL

    • FALTOT PERSO : JOHN JOHN EN QUÊTE DE GUERRE

    • #MOTCLEFCLEF : RENAISSANCE

    • #CYCLOVORTEX : L’AVENTURE C’EST L’AVENTURE

    • INVITÉE PARIS / NOUVEAU MONDE : MILENA KRASTEV MC KINNON

    • #INTRAINSPECTION : C’EST QUOI ?

    • #JESUISBELLE #3 : SONGERIE D’UNE NUIT DE PRINTEMPS

    • LA DISCUSSION LOIN DE TOUT

    • LA PLUS BELLE MUSIQUE DE TOUS LES TEMPS : MOZART : LES NOCES DE FIGARO

    • #LABELLETABLE : LE MARTEL 3 RUE MARTEL 10ÈME

    • #DÉDICACE DE MAXIME POUR ALICIA : Arriba · Caballero · PLK

    • #LALIMERENCE #3 : DRAGUE ET CHAROS, LA LIMITE ENTRE FLIRT ET HARCÈLEMENT

    • LES BELLES CHOSES À FAIRE À PARIS : (combien de) SQUARES ET (combien de) PARCS

    • INVITÉE PARIS / PORTRAIT : MILENA KRASTEV MC KINNON

    • S.O.S AMITIÉ : AIDA AL MANE FROM KOWEÏT

    • #LEPOINTJ #3 : LA TAPISSERIE DE BAYEUX



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    3 hrs