Pour comprendre véritablement ce que nous sommes, il faut partir de ce qui nous manque. Ce qui te manque va te donner la clé de ta véritable nature, de ton essence. Ce qui te manque, c'est l'unité, et l'unité est la marque du divin. Nous vivons dans la dualité, et nous sommes toujours à la recherche d'une forme de perfection dans nos vies, qui est tout simplement l'écho de notre première maison, celle d’où nous venons, l’Univers, Dieu... Pourtant, nous avons demandé à faire un périple dans le monde et la matière pour faire des apprentissages et revenir riches de connaissances. Il faut en passer par la dualité, les difficultés, les épreuves et les souffrances qui viennent de notre conscience - laquelle souffre de la lourdeur de ce monde comparé à la perfection de celui dont nous venons - pour comprendre la valeur et l’intérêt de l’unité, qui est la marque et l’expression naturelle, puissante et féconde du divin. Ce qui nous distingue des animaux, nous rend inférieurs à eux sur un certain plan, et supérieurs sur un autre, l’existence d’une conscience, qui se cristallise dans cette dimension via notre esprit, notre mental, est à la fois un fardeau et la clef qui nous a été laissée pour comprendre que l'unité est admirable et comment elle opère. Le secret de l'unité, nous le savons désormais, c'est l'amour, c’est l’essence même du divin, son expression, sa radicale différence face au néant. Mais aimer de la bonne manière n'est pas chose aisée et on se trompe fréquemment sur le sens de ce mot ou on l’applique mal dans nos vies. Aimer c’est d’abord être dans la gratitude, s’aimer soi-même, pour bien ou mieux aimer les autres et l’Univers. Ceci est mon dernier message, qui ouvre le chemin vers d'autres que je ferai désormais sous mon vrai nom et à visage découvert. Mais avant de partir, je veux t’offrir une dernière fois, sous une forme condensée, que j’espère limpide et enthousiasmante, la quintessence de mon propre cheminement tout au long des 55 messages, que j'ai reçus et que je t'ai transmis depuis une année. Je te remercie si tu m’as écouté et je te dis à très bientôt.

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Le 12 mars 1938 les troupes allemandes envahissent l’Autriche et Hitler annexe le territoire autrichien dans ce qui doit être à ses yeux la future grande Allemagne du Troisième Reich millénaire. Ce premier acte d’annexion, odieux et apparemment inconcevable pour l’époque, l’Anschluss, marque, en vérité, le véritable début de la Seconde Guerre mondiale. En novembre 2019, la crise non pas sanitaire mais médiatique du Covid-19 a été un Anschluss psychologique à l’échelle mondiale, c’est-à-dire l’annexion et l’asservissement de la totalité des esprits via la manipulation médiatique au moyen d’une crise sanitaire artificiellement fabriquée et alimentée à partir de mensonges, d’approximations et de contre-vérités scientifiques. L’Internet a été l’arme principale de cette annexion des esprits, qui aujourd’hui n’est plus remise en question, que ce soit sous la forme des achats en ligne qui sont venus remplacer les déplacements et les achats des personnes en présentiel, ou que ce soit par la délivrance d’informations totalement manipulées et orientées. Nous avons tous quitté, depuis 2019, le monde de la réalité, une réalité tangible, vraie, certifiée et fiable. La raison en est que nous sommes bien entrés, qu’on le veuille ou non, dans une nouvelle guerre, la Troisième Guerre Mondiale, mais cette guerre globale n’a pas pris la forme que nous attendions et c’est d’abord une forme de guerre par le contrôle des esprits, car ce que Hitler, comme Alexandre le Grand comme Napoléon, comme tant d’autres, ont échoué à faire, les élites, devenues malveillantes, ont compris qu’elle pouvait le faire par le moyen de l’information, devenue comme sous Hitler de la propagande, combinée à la soumission d’une science médicale et pharmaceutique perverties et achetées, puisque davantage soucieuses du profit que du bien-être universel, leur mission initiale.

Nous sommes entrés dans le monde de la substitution tous azimuts car maintenant tu te fais tout livrer et on fait tes courses pour toi, maintenant tu passes ton temps à regarder des championnats de foot à la maison et on fait le sport pour toi, maintenant tu n’as plus besoin de t’informer car « l’intoxation » - et non plus l’information - vient à toi toute prédigérée, et bientôt tu n’auras plus besoin d’être intelligent et créatif, car il y a l’IA, l’intelligence artificielle. Mais alors, si on vit et fait tout pour toi, es-tu encore vivant ? Et es-tu même maître de ta vie et de ton destin ? Ceux qui nous dirigent et qui nous perçoivent comme des nuisibles au nombre insupportable ont compris qu’il ne fallait pas faire la guerre comme autrefois en essayant de seulement tuer les gens au combat, même si nous y viendrons aussi à un stade ou un autre. La nouvelle guerre qui a commencé depuis quelque temps à notre insu, nous attaque sournoisement et en silence, dans l’ombre, avec des armes invisibles appelées virus ou vaccin ou bien encore « contrôle des esprits », car il est plus subtil de faire mourir en silence et lentement au nom de la science, en infectant et en inoculant des ennemis microscopique et invisibles, et il est plus rapide et définitif encore de tuer nos âmes par la propagande médiatique et l’idiotie virtuelle et artificielle. Ils pensent pouvoir gagner cette fois, là où Hitler a échoué, car ils détruisent les moyens de comprendre et de percevoir même l’attaque et l’annexion qu’ils commettent sur nos corps, nos vies, nos esprits, mais ils se trompent. Personne ne te parle comme Xander, car nous sommes tous maintenant entrés dans l’ère la dissonance cognitive, subjugués et hypnotisés par les voix des sirènes médiatiques, mais l’éveil d’un seul peut suffire à renverser le destin de tous…

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Tout le monde a droit à son cadeau de Noël, y compris Xander et le cadeau de Noël de Xander c’est un film de Sam Esmail qui circule actuellement sur Netflix et qui s’intitule « Le Monde après nous » (en anglais : « Leave the world behind ») est particulièrement intéressant parce qu’il dit exactement ce que dit Xander, juste qu’il le dit en mode occulte, c’est-à-dire caché, biaisé, brouillé. Mais tu sais que Xander, l’occulte, il déteste : donc, petite séance de décryptage…

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Le XXe siècle et encore plus le XXIe siècle ont ceci de particulier que l’humanitaire et le caritatifsont devenus une activité principalement laïque, collective et institutionnelle, et non plus une initiative privée, individuelle ou encore religieuse et spirituelle, bref, une expression considérée et perçue comme presque normale, voire indispensable dans les nouvelles sociétés modernes, avec, d’ailleurs, un gonflement exponentiel, au sein du corps social, de tout un ensemble d’acteurs rémunérés ou bénévoles à son service, surtout dans les pays prétendument développés (riches), libres et démocratiques.

Outre qu’il y a souvent, toujours et encore, dans l’attitude et les présupposés de l’humanitaire, une attitude de supériorité encore marquée par tous les préjugés des ex-colonisateurs et des ex-impérialistes, il y a peut-être finalement, malgré souvent de bonnes intentions, autant d’illusionschez ceux qui se veulent charitables, accueillants et humains que chez ceux qui sont réactionnaires, identitaires, racistes, voire xénophobes.

Car la vérité est sans doute ailleurs : il faudrait déjà sortir de l’illusion matérialiste, qui nous fait croire que ceux qui naissent nantis sont les plus heureux sur Terre, et que les pauvres et les miséreux vivent une calamité et une malchance indicibles.

Xander te propose de renverser ton point de vue sur le monde et d’enlever peut-être les lunettes de ces préjugés que nous avons tous, croyances qui nous arrangent, qui nous donnent tantôt bonne, tantôt mauvaise conscience, souvent de la culpabilité et un sentiment d’impuissance pénible, sans que rien soit finalement changé à l’état des choses.

Dans ce monde tordu, manipulé et confus qui est désormais le nôtre, faire le bien est donc peut-être aujourd’hui devenu bien plus complexe et difficile qu’il n’y paraît.

Car là où « l’avoir » a presque totalement fini par remplacer « l’être », peut-on obtenir autre chose qu’une action détournée par définition et qui finalement aboutit - étrange paradoxe - à accentuer notre sentiment de désespoir et de frustration ?

L’humanitaire et le caritatif, nous sommes tous d’accord pour le dire, c’est peu mais mieux que rien, car il faut souvent parer à l’urgence et faire quelque chose. Mais soudain une peur nous assaille : et si à cause de ce peu, et parce qu’on ne pose pas la question du bonheur au bon endroit, il était fait en sorte que, précisément, rien ne change jamais non seulement à la misère humaine mais à la manière que nous avons tous, pauvres comme nantis, de nous percevoir heureux ou malheureux ?

C’est cela peut-être la suprême réussite de l’illusion fabriquée par Judas, dont on oublie, comme Xander le rappelle très modestement, qu’il fut sans doute le véritable père de toute l’action humanitaire et caritative moderne…

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Quelle est l’essence de la rébellion ? L’essence de la rébellion, ce n’est pas la colère, ce n’est pas la destruction, ce n’est pas la violence : c’est l’amour.

La rébellion est un art ; la rébellion, cela s’apprend. La rébellion, ce n’est pas quelque chose qui est sans doute inné et naturel en nous, car nous sommes plutôt programmés pour nous intégrer dans des groupes : on appelle cela d’un grand mot pompeux, « se socialiser ».

S’il y a pourtant quelque chose que je peux te faire découvrir dans ce message, c’est que très probablement – je dis très probablement -, c’est-à-dire si tu es une personne considérée comme « normale », autrement dit socialement intégrée, tu as manqué ton apprentissage de la rébellion. Et je peux le dire parce que moi-même je suis passé à côté de ce grand apprentissage, qui est un sous-programme de survie et de salut en cas de danger. La rébellion est parfois nécessaire quand la société va mal et déraille : les individus doivent alors reprendre le pouvoir et se désocialiser le plus possible. Quand le corps est malade, il a la fièvre : c’est cela la rébellion.

Laisse-moi t’expliquer pourquoi je me permets de dire que très probablement tu as échoué dans cette épreuve, qui conduit à cette compétence importante qui peut faire le salut d’un seul et le salut de tous, car tu as des excuses et tout, dans le monde des hommes, et surtout dans le monde actuel, a vraiment conspiré pour t’empêcher de faire cet apprentissage.

Pour cela je vais te parler d’un acte que tu as sans doute connu auquel tu as été confronté que tu as peut-être redouté quand tu étais un enfant un étudiant, un écolier : c’est celui qui consiste à lever la main.

Ta main raconte qui tu es : la lèves-tu parfois ou ne la lèves-tu jamais ? Et aussi que tiens-tu dans ta main ? Tes mains sont la clef de la ta libération : regardes ce qu’elles tiennent et comment elles se tiennent et tu sauras qui tu es et quel sera ton avenir.

Dans cette guerre qui se prépare, et qui est bien plus terrible et radicale que toutes les petites et grandes guerres territoriales ou mondiales actuelles, l’objectif de l’ennemi ne sera atteint que si les êtres humainssont intégralement dépossédés de leurs armes et moyens de défense. La dévaluation, l’érosion ou la fragilisation de l’écrit vont de pair avec la disparition programmée de tous les outils qui garantissaient unpouvoir individuel sur le monde ou liberté : argent liquide, propriété, droit de penser et de s’exprimer différemment et non consensuellement, détention d’un savoir et d’une culture non confiscables… Tout devient virtuel, tout nous sort des mains : mais pour aller dans quelles mains ? Nous ne savons plus que consentir et « accepter les conditions de (notre) utilisation générale »…

La rébellion individuelle est la première étape qui conduit à la révolte, plus vaste et collective, puis cette inflammation contagieuse s’étend, et engendre, par la réaction tyrannique qu’elle provoque souvent en réponse, une nouvelle surenchère plus structurée et réfléchie : la révolution.

Comme les révolutions qui naissent de l’esprit de rébellion chez quelques individus, les feux spontanés des plaines et des forêts commencent par une infime étincelle dans des herbes sèches, et on ne peut pas imaginer qu’un immense brasier sur plusieurs hectares a pu partir de si peu, or ces feux issus de la foudre ont toujours dévasté la Nature, pour lui permettre de se régénérer. Sois cette étincelle !

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Obésité morbide, trafic d’organes, transhumanisme… Le mythe de l’immortalité est devenu bien puant de nos jours…

L’homéostasie, ou rééquilibrage des fluides (c’est-à-dire des énergies) dans les corps et les êtres vivants (même les plantes), est sans doute un des plus grands principes vitaux, et il nous indique comment fonctionne la totalité de l’Univers. Ce principe merveilleux de régulation naturelle nous permet de rester en bonne santé, quels que soient les apports extérieurs en eau ou en aliments, et c’est la clef de la surcharge pondérale qui en découle parfois, car stocker c’est désencombrer, et que nous imposons à notre corps.

Quel rapport maintenant peut-il y avoir entre l’homéostasie, le trafic d’organes et l’idéologie à la mode aujourd’hui du transhumanisme ? Peut-être la même croyance en la possibilité de créer un jour, voire dès à présent, un « homme Dieu » qui pourra, grâce à la magie des nanorobots, manger autant qu’il veut sans prendre une once de gras, s’envoyer en l’air par tous les moyens et toutes les substances imaginables, ou encore devenir quasi immortel grâce à des remplacements d’organes perpétuels ou à des clones qu’on fera pousser tels des légumes. Bref, le paradis dans la matière, par la matière et pour (exclusivement) la matière.

Ah si c’était si simple ! …

Lorsque nous commencerons à comprendre que la vie elle-même est un vaste système d’exploitation informatique et robotisé (de l’énergie) destiné à accueillir et perfectionner nos âmes, qui sont une forme d’énergie supérieure, alors on comprendra que nous ne faisons pas autre chose, quand nous voulons refaire l’homme via l’IA ou le rendre illusoirement immortel, qu’agir comme des perroquets idiots qui répétons un mystère, qui par définition nous échappe et que nous comprenons à l’envers. La vie n’a pas besoin d’être dupliquée par des robots, la vie n’a pas besoin d’être perpétuée indéfiniment comme si elle était une fin en elle-même, car elle est juste le chemin et le moyen d’arriver à quelque chose et elle est seulement la manifestation expressive du but ultime. C’est parce que nous sommes aveugles que nous ne comprenons pas que le but du voyage, c’est le voyage lui-même, et que l’aboutissement du chemin est tout entier contenu dans l’acte de cheminer. Nous rendre immortels dans la matière serait en vérité une damnation absolue, un châtiment sans équivalent, c’est pourquoi « pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font… »

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Si tu y regardes de près, tu remarqueras que tu passes dorénavant ton temps à signer des contrats sans même t’en apercevoir. Tu n’arrêtes pas « d’accepter », quand tu te connectes, telle ou telle condition, et de dire « OK ».

N’es-tu pas fatigué de tous ces contrats pourris qu’on te fait signer et sais-tu exactement ce qu’il y a derrière ?

Les contrats truqués – ils consistent à vendre ce qui inutile ou superflu ou ce que tu possèdes déjà ou ce qui n’appartient à personne - existent aussi sous la forme @des produits ou services si nombreux et inutiles qu’on essaie tout le temps de te vendre comme indispensables, et c’est aussi tout ce à quoi tu dois souscrire de manière implicitement naturelle ou obligatoire. On essaie, en fait, de te persuader perpétuellement que tu n’es pas complet et que tu dois acheter et acheter encore pour être en bonne santé ou pour être mieux. Derrière toutes ces arnaques, qui sont souvent, de nos jours, véhiculées par l’Internet, il n’y a que du vent, et l’argent que tu as péniblement gagné d’un côté, on vient te le prendre habilement dans ta poche, en te proposant juste quelque chose pour être seulement bien, alors que tu es déjà bien, mais on te persuade que tu ne l’es pas.

Mais il y a plus grave en termes de contrat bidon à la Faust, c’est que nous nous acheminons vers un monde sans aucune propriété désormais. L’as-tu remarqué ? qu’il n’y a plus de propriété nulle part mais tu n’as que des abonnements et des contrats de location ? Bientôt tu ne posséderas plus ta voiture, mais tu la loueras, tu ne posséderas plus ta maison, mais tu la loueras, tu ne posséderas plus ta santé, mais tu auras le droit à un contrat locatif sur ton propre corps prolongé par des remplacements d’organes, et tu pourras peut-être louer bien d’autres choses encore, qu’actuellement tu possèdes pour le moment, mais pour combien de temps encore ?

Nous sommes en passe de retomber dans un monde féodal, avec une poignée de gens qui possèdent la planète, qui possèdent des licences et les droits, qui possèdent ceci ou cela, et qui un jour nous ferons peut-être même payer le droit de respirer ou d’être seulement en vie, et nous sommes tous en train de redevenir peu à peu des serfs qui ne possédons que notre propre droit de travailler pour obtenir en échange tout ce que certains ont gratuitement, ce qui signifie que nous avons de nouveau des Seigneurs et des Maîtres.

Mais réjouissons-nous tout de même, car si le temps de la servitude est déjà là, c’est que le temps de la révolte n’est plus très loin !

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Il y a ceux qui n’aiment pas assez car ils ont perdu l’espoir en l’homme ou bien ils ont le cœur endurci, et il y a ceux qui aiment trop, qui donnent encore et encore.

Il y a ceux qui attendent que tu tombes comme eux et que tu trébuches, et qui ne laissent passer aucune de tes erreurs, et il y a ceux qui veulent te protéger de tout, te porter dans leurs mains pour que tu ne te blesses pas sur les cailloux de la route, qui se sacrifient pour toi et qui crient haut et fort qu'ils t'aiment comme personne ne pourra le faire, qu’ils iraient même jusqu’à tuer tellement ils t’aiment...

Et, en fait, ni les uns ni les autres ne savent aimer : et peut-être aussi il y a toi, au milieu de ces deux groupes qui tantôt te repoussent, tantôt t’agrippent, toi qui voudrais, comme nous tous, être vraiment aimé et aussi aimer de la bonne façon.

Si tu écoutes ce message de Xander, taillé à l’arrache dans la matière de ses souvenirs, tu aimeras peut-être un peu mieux, à la fin, et tu sauras aussi mieux te faire aimer : mais surtout - surtout ! - n’oublie pas d’aller à New York…

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